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146. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE III. Est-il à propos que les jeunes gens aillent à la Comédie ? » pp. 55-83

Il quitta enfin cet infâme métier, et entra dans le barreau. […] Ensuite la judicieuse assemblée délibéra que ce jour célèbre aucun Ecolier ne manquerait à la comédie, sous peine d'être chassé des écoles, comme un infâme excommunié.

147. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VII. De la frivolité et de la familiarité. » pp. 150-162

Les égards du parterre ne sont pas plus flatteurs : ces impitoyables sifflets, ces éclats de rire, ces cruelles satires, ces chansons infâmes, sont-elles encore des façons de la bonne compagnie ?

148. (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62

Le serait-on, en fournissant à un homme dans le délire, des armes meurtrières, ou à une créature impudique, les moyens d’entretenir son infâme commerce ? […] Jésus-Christ paraîtrait sur les Théâtres, en la personne d’un acteur ; d’une actrice effrontée, gens infâmes, même selon les lois des hommes ?

149. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE III. Extrait de quelques Livres.  » pp. 72-105

Qui chercheroit dans le sanctuaire le commentateur de cette infâme rapsodie ? […] Le principe de la Monarchie se corrompt encore plus, lorsqu’il est mis en contradiction avec les honneurs, qu’on peut à la fois être chargé de dignités, pension, faveur, &c. ; est couvert d’infamie, lorsque des ames singuliérement lâches, tirent vanité de la grandeur que paroit avoir leur servitude, & qu’elles croyent que ce qui fait que l’on doit au Prince, fait que l’on ne doit rien à la patrie : Voilà les comédiens infâmes & chargés de présens, bien accueillis & excommuniés.

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