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69. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Suite du Clergé Comédien, » pp. 52-67

C’est se précipiter dans un abyme, pour gravir au haut des Alpes. […]         Pas si haut… un peu de prudence.

70. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173

C’est dans la violation de ces divins préceptes de Jésus-Christ, que nous venons de citer plus haut, que réside le principe de l’abominable doctrine des régicides. […] Quoi qu’il en soit, si le gouvernement par le seul fait de la présentation des nouvelles lois dont je viens de parler plus haut, annonçait le désir de les obtenir, il serait de toute justice de prononcer auparavant, la dissolution de la chambre des députés.

71. (1684) Epître sur la condemnation du théâtre pp. 3-8

Quel plaisir d’écouter tes aimables Acteurs, Des plus hautes vertus nouveaux Prédicateurs !

72. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE V. De la Parure. » pp. 107-137

Faisant le siege d’une ville avec ses Mignons, on lui crioit du haut des murailles : Venez, jeune mignon, qui ne sauriez tenir contre nos femmes, & une vieille femme s’assit sur la brêche, filant tranquillement sa quenouille, & se moquant de lui. […] Parce que les filles de Sion se sont élevées, qu’elles ont marché la tête haute, faisant des signes des yeux & des gestes des mains, qu’elles ont mesuré tous leurs pas, & étudié toutes leurs démarches, le Seigneur rendra leur tête chauve, il arrachera tous leurs cheveux. […] La plus haute fortune dépendoit de leurs succès sur le cœur d’Assuérus. […] Quand on croit avoir trouvé quelque nouveau renfort, on respire enfin, & on se console ; on achette tout au plus haut prix, l’ouvrier n’est jamais trop bien payé ; on y prodigue le plus riche patrimoine.

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