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315. (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 2. SIECLE. » pp. 81-106

Plût à Dieu qu'il nous fût possible de ne point vivre en ce monde parmi ces gens-là: mais au moins nous devons nous séparer des œuvres du monde, parce que le monde est un ouvrage de Dieu, mais les œuvres du monde sont l'ouvrage du Diable. […] Pourquoi donc ces gens qui vont aux Spectacles ne sont-ils pas possédés du Démon ?

316. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VII. De la frivolité et de la familiarité. » pp. 150-162

Avant ce règne brillant les gens étaient polis, sensés, modestes, sages ; un homme de théâtre eût passé pour fou. […] Par un faux air de grandeur on se croit en droit et on se fait un mérite d'agir avec les gens librement et sans se gêner, ce qui détruit l'estime et la paix.

317. (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « MANDEMENT  du Chapitre d’Auxerre, Touchant la Comédie. » pp. 51-58

  A ces causes, en nous conformant au Rituel, & aux Ordonnaces Synodales de ce Diocèse, Nous ordonnons aux Curés, Confesseurs & Prédicateurs de la Ville & Faux-bourgs d’Auxerre, d’instruire en public & en particulier, tous les Fidéles de l’un & de l’autre sexe, de l’obligation où ils sont de s’abstenir de divertissemens si préjudiciables à leur salut ; & de n’avoir aucune société avec des gens, que les loix ecclésiastiques & civiles ont toujours regardés comme infâmes.

318. (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — Avertissement » pp. 72-80

Mais beaucoup de gens prétendent qu'il n'y a rien de si différent que la Comédie des siècles passés, qui a été l'objet de leur colère et de leur indignation, et la Comédie moderne.

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