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63. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE IX. Spectacles de la Religion. » pp. 180-195

Voyez dans les révolutions des siecles une image du cirque, attendez le terme de la consommation, intéressez-vous aux triomphes de la foi, à la gloire de l’Église, cueillez les palmes des Martyrs, éveillez-vous à la trompette de l’Ange. […] Vous verrez dans la religion Chrétienne, la foi combattre le fer & le feu, vaincre & adoucir les bêtes féroces, & à la fin des siecles la résurrection générale des morts, & le démon qui avoit triomphé du monde entier, mordant la poussiere aux pieds du Sauveur. […] S’il vous faut réjouir par des spectacles, occupez-vous de ceux que vous fournit l’Église, aussi innocens qu’agréables, qui nourriront votre foi & votre piété.

64. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II. Excellentes raisons qui ont porté les Pères de l’Eglise à condamner les Comédies, et à les défendre aux Chrétiens. » pp. 12-28

L’esprit de grâce est celui que le Chrétien reçoit dans son baptême, et qui le fait agir par les principes de la foi. […] Car vous serez chargés d’une horrible confusion, si vous menez une vie qui n’ait point de rapport à la sainteté de la profession que vous avez embrassée, si portant le nom de fidèles, vous n’en faites point les actions, et si vous ne gardez point la foi que vous avez donnée à Dieu. […] Et néanmoins un Chrétien, soit qu’il n’ajoute point de foi aux paroles de Jésus-Christ même, soit qu’il les méprise, n’apperçoit aucun beau visage, sur lequel il n’arrête ses yeux.

65. (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  AVERTISSEMENT DE. L’ÉDITEUR. » pp. -

M. de Pompignan, après avoir exposé les vices de notre Théatre actuel, donne des règles sûres pour l’enrichir par des beautés solides, & en écarter tout ce qui peut blesser la foi ou les mœurs.

66. (1731) Discours sur la comédie « PRIVILEGE DU ROI. »

Voulons que la copie desdites Présentes, qui sera imprimée tout au long au commencement ou à la fin desdits Livres, soit tenue pour dûment signifiée, et qu’aux copies collationnées par l’un de nos aimés et féaux Conseillers et Secrétaires, foi soit ajoutée comme à l’Original.

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