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321. (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386

.… Si les temples du Dieu vivant avoient en si peu d’années causé tant de ravages parmi les hommes ; si le fer, le feu, l’enfoncement des pavés ou la chute des voûtes y avoit fait périr à diverses reprises quelques-uns de ces Chrétiens lestes qui vont aux grandes fêtes entendre la dernière et la plus courte Messe, on les fermeroit, on les détruiroit : les plus dévots craindroient d’y entrer ; tous se croiroient dispensés de s’y rendre.

322. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Autres Anecdotes du Théatre. » pp. 43-70

Son fils mit au feu un très-grand nombre de ses épigrammes mordantes : le succès bon ou mauvais de ses piéces en a beaucoup fourni ; les Plaideurs sont une satire.

323. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VIII.  » pp. 195-221

Le Breviaire ne s’est répandu que de proche en proche, encore même n’est-il pas généralement adopté, malgré l’autorité du feu Evêque, & les intrigues de sa Cour.

324. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IIbis. Autre suite du Fard. » pp. 61-89

Vous vous applaudissez, femmes coquettes, & vous devriez verser de larmes ameres pour éteindre les feux éternels que vous allumez.

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