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6. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « III. Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le prétend l’auteur de la Dissertation. » pp. 5-9

Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le prétend l’auteur de la Dissertation. […] Pour moi, je l’ai vu cent fois déplorer ces égarements : mais aujourd’hui on autorise ce qui a fait la matière de sa pénitence et de ses justes regrets, quand il a songé sérieusement à son salut, et si le théâtre Français est aussi honnête que le prétend la dissertation, il faudra encore approuver que ces sentiments dont la nature corrompue est si dangereusement flattée, soient animés d’un chant qui ne respire que la mollesse.

7. (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PREFACE CONTENANT L’HISTOIRE DU DIX-SEPTIEME SIECLE, SUR LA COMÉDIE. » pp. -

Le public fut surpris de voir paraître dans la même année une Apologie de la Comédie, par un Livre intitulé, Dissertation sur la condamnation des Théâtres, dont on a cru qu’Hédelin était encore l’Auteur. […] Cet Ouvrage a pour titre, Défense du Traité de M. le Prince de Conti, touchant la Comédie, Ou Réfutation de la Dissertation sur la condamnation des Théâtres.

8. (1691) Nouveaux essais de morale « XXI. » pp. 186-191

Le Docteur Fabricius professeur en Théologie à Heidelberg, n’est pas plus judicieux dans sa Dissertation pour la défense de la Comédie, et son dessein est bien peu convenable à la profession d’un homme qui enseigne la Theologie. […] Il ne sue point dans une longue Dissertation, pour ne faire qu’embarrasser la question et la rendre plus difficile à décider, comme a fait le Docteur Fabricius par ses règles prétendues, qui mettent l’esprit dans une plus grande incertitude, que l’Ecriture même.

9. (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « [FRONTISPICE] »

[FRONTISPICE] DISSERTATION SUR LA CONDEMNATION DES THEATRES.

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