un Confesseur défendra-t-il ce qu’il vient de faire ? […] N’est-ce pas défendre d’avance l’opéra et les concerts, où l’on en chante des scènes entières ? […] Il devrait être défendu aussi de représenter des pièces de leur composition. […] est précis pour défendre la comédie aux Clercs. […] on trouve des canons qui défendent l’impudicité, l’ivrognerie, et l’usure.
Clément d’Alexandrie, condamne le seul concours des hommes et des femmes, 145 Clercs, on leur défend le métier de Bateleur, 224. 228. 241 Clergé de France, défend dans l’Assemblée de Melun de jouer des Comédies dans les Cimetières, 240 Clovis n’avait qu’un joueur d’instrument, 131 Comédie défendue avant et après l’extinction de l’Idolâtrie, 34. […] Théodose leur défend de porter des pierreries et des étoffes brodées, 108. […] Evêque de Grasse, défend sous peine d’excommunication qu’on élève des Théâtres devant les Eglises, 244. […] Louis le Débonnaire, défend aux bouffons de prendre des habits de Religieux, 182. […] Avril de la même année, par lesquelles il est défendu à tous Libraires et Imprimeurs, d’imprimer et vendre aucuns Livres composés par ceux de notre Congrégation, sans notre permission expresse, sous les peines portées par ledit Privilège.
Le chef de votre Eglise ne permet-il pas à Rome, ce que vous défendez à Paris ? […] Encore une fois, messieurs les prêtres romains, tâchez de vous entendre ; car, ce n’est pas, je pense, parce que le spectacle est plus décent à Rome et à Turin qu’à Paris, qu’il est permis dans ces deux villes, et défendu dans la dernière. […] Il prétend que la profession de comédien servant au divertissement de l’homme, ne doit pas être défendue ; « qu’ainsi il est permis de vivre du gain de cet art. » (St Ant. 3 p. sum. […] Il est vrai que bientôt l’extrême licence des gens d’Église blessa la cour même ; il fut défendu de jouer des pièces qui eussent trait aux mystères de la religion et aux choses saintes. […] Ne pouvant se défendre sur quelque point qu’on l’attaque, il se fâche, s’irrite, s’emporte jusqu’à la fureur ; quand il a pour lui la force, il se passe volontiers de la justice, et sacrifie sans pitié quiconque n’est pas de son avis.
Si un Evêque peut défendre qu’on ne danse les jours des Fêtes, ou même en quelque temps de l’année que ce soit. […] La première est, s’ils ont droit de défendre sous des peines Ecclésiastiques, qu’on ne danse point pendant les jours des fêtes. […] Et ainsi comme l’autorité et la puissance spirituelle ne peut jamais être plus légitimement employée que pour appuyer et faire observer le droit commun, les Evêques peuvent la défendre par leurs Ordonnances, aux jours et aux temps que nous avons marqués, sous peine d’excommunication, ou sous quelqu’autre peine arbitraire. […] Pour le second, on ne peut non plus douter qu’un Evêque ne puisse défendre la danse absolument et en tout temps, parce que la puissance Episcopale n’est pas tellement bornée par le Droit commun, pour ce qui regarde les mœurs, qu’elle ne puisse s’étendre au-delà des lois Canoniques, et ajouter des nouvelles Ordonnances pour ôter et détruire le péché, C. […] Et de là il s’ensuit nécessairement qu’ils peuvent défendre la danse en tout temps, parce que comme nous avons prouvé dans tout cet ouvrage, ce divertissement, non seulement est opposé à la piété Chrétienne, mais encore il ne peut être qu’une source de maux et de péchés.