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184. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [E] » pp. 399-406

Qu’on nous trace de semblables modèles, pour nous consoler de l’existence des Méchans ; qu’on nous peigne du moins quelquefois la vertu, dans ces états inconnus qu’il est inutile de tourner en ridicule, puisque ceux qu’on pourrait corriger par-la, sont rarement au nombre des Spectateurs.

185. (1705) Sermon contre la comédie et le bal « II. Point. » pp. 201-218

La gloire de reformer le monde était réservée à ce nouvel Evangile, et sans doute il a fait de grands progrès, et il est capable d’en faire encore de jour en jour de plus grands, il a corrigé quelque affectation de langage, quelques façons bizarres et grotesque de s’habiller, en un mot les manières qui ont quelque chose de choquant et de ridicule, mais pour des vices réels, des dérèglements effectifs, ha !

186. (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VIII. » pp. 131-157

O la plaisante maniere de corriger les mœurs, dit-il encore1 !

187. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE VI. Où l’on examine si le Bal public proposé par M. Rousseau ne serait pas plus préjudiciable aux mœurs de Genève, que le spectacle qu’il proscrit. » pp. 211-224

L’Evangile veut formellement que l’homme quitte tout pour s’attacher à sa femme ; mais vous, qui vous croyez fait apparemment pour le corriger et l’interpréter, vous voulez que les hommes ne voient leurs femmes que le moins qu’il leur sera possible.

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