En effet, si quelqu’un a quelque fondement probable, de croire que quelque personne particulière, et certaine, péchera, ou à son occasion, ou à l’occasion de la danse ; qui peut douter qu’il ne soit obligé en conscience de s’en abstenir, et qu’il ne pèche grièvement, s’il ne s’en retire ?
On tâche donc de faire en sorte que la conscience s'accommode avec la passion et ne la vienne point inquiéter par ses importuns remords.
Nous soumettons cet essai au public, dans l’espérance que si nos lecteurs demeurent convaincus de la vérité de nos arguments, aucune considération, aucune habitude antérieure ne pourra prévaloir sur la voix de la conscience, et sur cette paix de l’âme, ce trésor le plus précieux de tous, et qui est bien au-dessus de tous les vains plaisirs du monde et de tous ses frivoles amusements.
On a donc tâché de faire en sorte que la conscience s'accommodât avec la passion, et ne la vînt point inquiéter par ses importuns remords.