/ 266
49. (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Des Spectacles des Grecs. » pp. 3-6

La premiere comprend ces Assemblées generales où l’on se rendoit de toutes parts, & dont la magnificence ou la solemnité attiroit vne foule de curieux des Nations les plus éloignées.

50. (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre VII. Des Carozels. » pp. 191-195

Vn parfait Carosel comprend un dessein amoureux & guerrier, & fait porter ses Troupes, marcher ses Chars, & eslever ses Machines, avec une continuelle relation à son Jeu & à son dessein.

51. (1671) La défense du traité du Prince de Conti pp. -

Secondement, L’Auteur de la Dissertation suppose que les Anciens Romains n’ont jamais compris les Acteurs de Comédies, et de Tragédies, sous le nom d’Histrions et de Scéniques. […] Mais dans l’usage commun du peuple, la Religion comprenait toutes sortes de cultes des Dieux, quelques superstitieux qu’ils fussent, lorsqu’ils étaient autorisés par les lois, ou par la coutume. […] Augustin, comprend les fables des Dieux, et leurs allégories et mythologies dans la Théologie fabuleuse qu’il condamnait. […] De sorte que si les Spectacles en sont procédés, et soutenus, il ne faut point douter qu’ils ne soient compris en cette renonciation générale. […] , comprennent les sacrifices, les festins sacrés, les Jeux, et les féries….

52. (1765) De l’éducation civile « De l’éducation civile » pp. 76-113

Vous avez compris qu’il y auroit de l’indécence à obliger une jeune Personne, à révéler, à une Assemblée respectable, des secrets qu’elle rougit de s’avouer à elle même ; mais auriez-vous oublié cette maxime d’un Ancien, que les choses honteuses à faire ne sont jamais bonnes à dire, encore moins à représenter ? […] Vous avez sagement compris que des choses sérieuses leur paroîtroient froides, & que des vérités fortes les écraseroient. […] Mais on seroit plus curieux de connoître quelles passions sont les plus dangereuses de l’amour ou de la cupidité ; comment on doit distinguer, la prudence de l’astuce ; sur quoi se fonde la parfaite amitié, & si ce sentiment doit être compris au nombre des vertus.

/ 266