» Ma Francesco Maria del Monaco, Religioso della medesima Religione de’ Chierici Regolari Teatini, della quale è Marcello, lo cita così. […] Cita molti Dottori, e poi soggiungefa. « Quamvis Actores, seu Rapresentantes non intendant nocere Spectatoribus. […] » E cita molti Dottori. […] , e cita altri dottori, fucans faciem, peccat mortaliter, si hoc faciat ex sine mortaliter malo. […] » Voglio aggiungere qui all’autorità di Raffaello delle Colombe: già che egli cita Silvestro.
on pourrait citer bien des exemples d’hommes généreux qui ont pris spontanément la défense personnelle du faible opprimé : je n’ai donc qu’à faire le vœu que ce dévouement soit encouragé tant sous l’ancienne que sous cette nouvelle forme, qui n’entraînerait point une plus grande responsabilité que l’autre, et qui attesterait mieux le courage des auteurs et la sincérité de leur zèle que les imprudences accoutumées rendent si douteux qu’on est quelquefois forcé de croire que les uns sont au moins indifférents aux désordres qu’ils combattent, et que les autres seraient fâchés qu’ils manquassent à leur verve ou à leur ambition.
.° Les Loix Romaines conservent le fard aux femmes. à qui on accorde la toilette, elles le croyent donc permis ; il cite là-dessus deux loix du digeste, de aur. argent. legat ; mais très-mal, elles n’en disent rien.
Dans un temple charmant que le goût se rappelle, Et dont lui seul étoit le Dieu, L’amour avoit une chapelle Que desservoit ce grand Prétre Chanlieu, Pontife un peu gouteux, mais Célébrant fidele ; Si digne en tout des Prêtresses du lieu, Et cite-moi deux accidens plus tristes Que les dînées d’agriculteur Et les soupés d’économistes.