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26. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VII. De l’idolâtrie du Théâtre. » pp. 143-158

Mais cette raison cessa à la chute du paganisme. […] Thomas, etc., ne cessèrent pourtant pas de le condamner, tant ils le croyaient intrinsèquement vicieux, indépendamment de l’idolâtrie ; et les premiers, qui le virent idolâtre, Tertullien, S. Cyprien, etc., outre le culte des Dieux qu’ils y réprouvent, y trouvent mille autres raisons de proscription qui n’ont jamais cessé. […] Je ne parle pas de l’esprit faux et frivole qu’inspire et qu’entretient l’étude continuelle des fables et des chimères, du mauvais goût que donne le tissu de folies et de crimes dont on se repaît comme de quelque chose de bien merveilleux, des entraves qu’il met au génie, en persuadant que tout le beau, le sublime, l’agréable est renfermé dans ce petit nombre d’objets sans cesse répétés et ressassés, qui n’ont plus que de la fadeur.

27. (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « Sonnet à la Seignore Isabelle, sur son voyage à Monceaux »

Sonnet à la Seignore Isabelle, sur son voyage à Monceauxac Sans l’air de vos Zéphyrs, je languis et me pâme, De ce qu’un sort cruel me prive de vos yeux : Isabelle, mon cœur, que ses rais gracieux Avivent le saint feu qui sans cesse m’enflamme.

28. (1825) Des comédiens et du clergé « Dédicace » pp. -

  Messieurs, Un préjugé détestable, et réprouvé par tous les hommes de bien, jette de la défaveur sur une profession que notre législation et l’autorité de nos rois n’ont cessé de protéger et d’honorer ; je crois satisfaire au vœu du public en fournissant, sur cette matière, tout ce que les lois civiles et ecclésiastiques ont de plus prépondérant pour fixer le jugement des hommes.

29. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — section »

L’aimable société vit Mademoiselle *** : on la chérit, on l’estima, & jamais elle ne cessa de le mériter.

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