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151. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Du Fard. » pp. 143-168

L’armée des graces, les batteries des regards, tout doit être placé par une main habile ; les boulets seront d’autant plus aisément brêche, que le canon aura été mieux pointé.

152. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VIII.  » pp. 195-221

Bien des Evêques depuis un demi siécle, ont donné cette comédie à la France, contre toutes les regles, & au grand préjudice de la Réligion, par les innombrables variétés de leur liturgie ; mais Cahors s’est singuliérement distingué, par le ridicule de ses fêtes, de ses légendes, hymnes antiennes, canons dont plusieurs paroîtroient avec honneur, sur le théatre.

153. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Suite d’Anecdotes Ecclésiastiques. » pp. 106-132

Le cardinal Fantuzzi, préfet de cette congrégation, se plaignit hautement qu’on avoit attenté sur ses droits & sur la jurisdiction de l’Immunité ; & comme, selon les canons de l’Eglise, celui qui met sans pouvoir la main sur un prêtre, encourt ipso facto l’excommunication majeure réservée au Pape, il déclara que les trois cardinaux qui avoit porté le décret, le gouverneur de Rome & ses officiers qui l’avoient exécuté, avoient encouru l’excommunication dont ils ne pouvoient être absous que par le Pape futur ; & en conséquence étoient privés de toute voix active & passive dans le Conclave.

154. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE II. Théatres de Société. » pp. 30-56

Mais enfin le théatre est toléré, sur-tout le théatre domestique, sur lequel jamais les loix ni les canons n’ont prononcé : comme fi tout ce qu’on a dit contre le théatre public ne portoit pas également sur les autres.

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