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94. (1664) Traité contre les danses et les comédies « LETTRE DE L’EVEQUE D’AGNANI, Pour la défense d’une Ordonnance Synodale, par laquelle il avait défendu de danser les jours des Fêtes. Au très Saint et très Bienheureux Père Paul V. Souverain Pontife. Antoine Evêque d’Agnani, éternelle félicite. » pp. 154-176

C’est Dieu qui est l’Auteur de cette doctrine céleste, et le Maître de cette science salutaire, car il est dit dans l’Ecclésiastique, que « c’est lui qui a établi les Fêtes, et qui en a fait l’ornement du temps et de nos années ; que c’est lui encore qui a rendu ces solennités vénérables et éclatantes par l’ordre magnifique qu’il a donné à son peuple ; afin qu’il les celebrât avec splendeur et avec majesté. […] Ce qui est encore déclaré plus expressément dans cet autre passage de l’Ecriture : « Que les Lévites se rendent fidèlement le matin dans le Temple pour bénir Dieu, et pour chanter ses louanges ; et qu’ils s’assemblent encore sur le tard, non seulement au temps de l’oblation des holocaustes, mais encore tous les jours de repos, au commencement de chaque mois, et dans toutes les autres solennités de l’année. » « Levitæ stent mane, ad confidente et canendum Domino, similiterque ad vesperam, tam in oblatione holocaustorum Domino, quam in Sabbatis, et Calendis, et solemnitatibus reliquis. » Paralip.

95. (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Du mandemant de Monseigneur l’Archeveque de Rouen. » pp. 379-401

Il doit soutenir sa dignite, par sa foi et sa bonne vie. » (Concile de Carthage, IVme canon année 398.) […] On trouve une fondation par lui faite en l’église cathédrale d’Autun, en l’année 1213, et l’un de ses petits-fils, Guillaume de Montholon, fut créé cardinal en 1350.

96. (1825) Des comédiens et du clergé « Table des matières, contenues dans ce volume. » pp. 409-427

Archeveques ou eveques des fous, élus chaque année dans nos cathédrales, pag. 280. […] Evêques ou archevêques des fous, élus chaque année dans nos cathédrales, pag. 280.

97. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Procès des Comédiens. » pp. 169-224

Pour multiplier ces abonnemens, ils ont fait construire de petites loges qui se paient à l’année ; ils en ont mis partout : ce qui rétrecit le parterre & le théatre, & gêne le public. […] Après avoir donné différens Ouvrages au public, le sieur Mercier s’essaya, vers l’année 1769, dans le genre dramatique. […] Le 22 décembre de la même année 1773, il se présenta à l’assemblée des comédiens, & se fit inscrire sur les registres pour la lecture d’une piece nouvelle ; il a vainement sollicité cette lecture pendant tout le cours de l’année 1774 ; il l’a demandée enfin par une lettre du 4 Mars, avec une troisieme piece. […] Mrs. les premiers Gentilshommes s’empresserent de remplir le vœu de cet arrêt, & dès le 23 décembre de la même année 1757, parut leur règlement. […] Le 9 juin de l’année suivante, les Comédiens se retirerent en l’Etude de Me.

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