Et le surplus à la moitié d’icelui, suivant ce qui a été par ladite cour ordonné contre les prédécesseurs entrepreneurs du Mystère des Actes des Apôtres. […] [NDE] C’est la même somme que pour les entrepreneurs des Actes : 1000 livres tournois valent 800 livres parisis.
[Actes du 3e concile de Tours (813), Canon 8, in Sirmond, Antiqua Concilia Galliae, Paris, 1629, p. 297 ; Etienne Baluze, Capitularia Regum Francorum, rééd. […] [Actes du 3e concile de Tours (813), Canon 8, in Sirmond, Antiqua Concilia Galliae, Paris, 1629, p. 297 ; Etienne Baluze, Capitularia Regum Francorum, rééd.
On bannira de notre Théâtre ces actes d’impudence, c’est un mauvais Comique, que celui qui fait rire d’une mauvaise action. […] Cependant j’ai vu dans le V Acte de Dardanus, un Parascénica tel que je le demande. […] Ce dernier Théâtre est possesseur de 40 Pièces de Déclamation en 3 Actes, de 43 en 1 Acte ; de 45 Comédies-ariettées, 13 Parodies, & 54 Opéras-Comiques, dont douze au plus pourraient être soufferts : c’est environ 150 Pièces qu’on peut joindre aux 182 dont j’ai parlé. [On compte sur le Théâtre national 121 Grandes Comédies représentables en cinq Actes, & 177 Tragédies. […] [Le taux actuel des Parts d’Auteur, est le neuvième pour les Pièces en V Actes, & le dix-huitième pour celles en III & en un Acte.
En effet, les remords de Cinna et son incertitude dans la troisième Scène du troisième Acte, rendraient son caractère plus grand et plus digne de la majesté tragique ; on ne le verrait balancer qu’entre la générosité de son cœur et le désir de la vengeance. […] La Scène sixième du quatrième Acte entre Maxime et Æmilie deviendrait par là infiniment meilleure : car Maxime, sans trahir Cinna, ferait sa déclaration à Æmilie et lui proposerait de fuir avec lui pour l’épouser. […] En retranchant Camille de la Pièce, on pourrait y substituer un autre épisode, qui fournit en même temps la matière d’un cinquième Acte, et perfectionnât cette Pièce de tout point. […] Dans la dernière Scène du premier Acte, Arténice avoue à sa confidente qu’elle aime passionnément l’étranger que son père a retiré pendant trois jours dans sa maison de campagne, et qu’elle a vu par hasard. […] L’inclination d’Arténice pour Sésostris, sans le connaître, paraît d’une certaine façon autorisée : et dans la Scène VIIe. du troisième Acte, la Reine lui dit que leur mariage était déjà résolu : sur ce principe, on peut sauver ce premier mouvement d’inclination pour une personne qu’Arténice ne connaît pas ; puisqu’à la fin il se trouve que cet inconnu est Sésostris lui-même.