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278. (1607) Conviction véritable du récit fabuleux « letter » pp. 3-26

A quoi s’accorde toute la chrétienté, hormis les ministres et leurs adhérents, qui sous prétexte d’une réformationci difforment toutes choses.

279. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129

Qu’on rabatte, à la bonne heure, de la grossièreté de ces termes, qui en effet ne sont pas du goût de notre siècle, qu’on accorde de la politesse, de la civilité aux Acteurs de Paris ; mais les mœurs des troupes sont toujours les mêmes, et les Etats du royaume n’auraient pas moins de doléances à faire que dans le seizième siècle.

280. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IX. Sentiments de Tertullien. » pp. 180-200

Le mépris même de la volupté, fouler aux pieds les Dieux des nations, chasser les démons, opérer des guérisons miraculeuses, être instruit de nos mystères, vivre uni à Dieu ; voilà les délices, les spectacles des Chrétiens, ils sont saints, perpétuels, accordés gratuitement.

281. (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128

Si son état est avilissant, il ne peut être vertueux ; l’amour de la Vertu ne pouvant s’accorder avec son état, il est impossible qu’elle l’emporte sur l’ascendant de sa profession. […] Comme il n’y avait pas d’apparence de l’éxécuter sans le consentement de Nannus, Roi des Ségobrigiens, ils lui députèrent leurs chefs Simos & Protis, pour le prier de leur en accorder la permission. […] Cet honneur ne fut accordé depuis qu’aux plus grands Princes, & même avec peine.

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