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319. (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « LA PREMIÈRE ATTEINTE CONTRE CEUX QUI ACCUSENT LES COMÉDIES » pp. 1-24

Non, je ne dois point rechercher loin de nous les ombres et les sépulcres, puisque nous en avons aujourd’hui dans notre France, en l’œil des cités, en la plus auguste ville de l’Europe, le corps, la lumière, et la vie de tous les plus rares et dignes Comiques du monde, en ceste troupe de Parnasse, nourrissons des Muses, Aigles de Jupiter, vrais enfants d’Apollon, race divine, interprètes des Dieux, qui ont gratifié Paris de leur présence : quelles louanges vous peut-on donner ?

320. (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 2. SIECLE. » pp. 81-106

Outre cela les Comédies, et les Tragédies expriment tout ce qu'il y a de honteux dans l'histoire de vos Dieux: vous regardez avec plaisir le Soleil plaindre le malheur de son fils qui est tombé du Ciel; vous voyez sans rougir que Cybèle soupire pour un berger qui la méprise; vous souffrez que l'on représente tous les crimes de Jupiter, et que Paris juge le différent de Junon, de Minerve, et de Venus.

321. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VII. De la frivolité et de la familiarité. » pp. 150-162

Le Seigneur Algarotti, dans ses lettres, dit aussi justement que plaisamment, pour peindre les nations de l'Europe : « On parlait de guerre dans l'ancienne Rome, on parle de religion dans la nouvelle, de commerce à Cadix, de politique à Londres, de comédie et de romans à Paris.

322. (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE LIVRE DE J.J. ROUSSEAU, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 21-65

Il lui était réservé de trouver mauvais l’établissement des lanternes dans Paris.

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