/ 378
283. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Anecdotes de Cour. » pp. 171-202

Paris est en spectacle à tout le royaume. […] Celle de Paris, qui n’a jamais voulu de comédie, ne seroit pas si complaisante. […] Celle de Paris s’adoucira, & bientôt ses docteurs, régens, monteront sur le théatre, Pierre Lombard, Cujas, Hypocrate, Aristote sortiront des coulisses & joueront quelque farce.

284. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VIII. De la Comédie les jours de fête. » pp. 159-179

Elle s’observait de son temps à Paris, comme lui-même l’atteste. […] Un arrêt du Parlement de Paris du même temps (1. oct. 1588.) les défend à tous bateleurs, joueurs de farce, et semblables, esdits jours de fête.

285. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE V. Des Jésuites. » pp. 108-127

Les Jésuites, bannis du royaume par Henri  IV et le Parlement de Paris, furent rétablis vers 1606, et firent revivre leur théâtre. […] parce que les courtisanes Romaines ont été plus effrontées, faut-il fréquenter les Actrices de Paris ?

286. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-10

 44, une critique judicieuse des drames espagnols, qui ne tombe pas moins sur les pieces françoises ; où, selon les brochures innombrables qui tous les jours innondent les théatres de Paris, se trouvent les mêmes défauts & de plus grands qu’à celui de Madrid, l’auteur se jette sur la morale, & dit : L’aversion que j’ai pour les comédies de notre temps, n’est pas moindre que celle que j’ai toujours eu pour les livres de chevalerie.

/ 378