/ 364
334. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118

[NDE] Ce vers n’est pas extrait de L’Art poétique, mais d’une épigramme à mettre à la fin du poème La Pucelle ou la France délivrée, de Jean Chapelain (1656) : « Maudit soit l’auteur dur, dont l’âpre et rude verve, / Son cerveau tenaillant, rima malgré Minerve ; / Et, de son lourd marteau martelant le Bon Sens, / A fait de méchants Vers douze fois douze cents » ; in Œuvres de Nicolas Boileau Despréaux, Amsterdam, D. 

335. (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12

[NDE] Clovis ou la France chrétienne (1657).

336. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175

Cette règle est si bien reconnue, que dans la célèbre dispute sur le refus des sacrements qui a agité l’Eglise de France, toutes les parties ont unanimement reconnu que les Comédiens étaient exclus de la sainte eucharistie.

337. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE II. Le Théâtre purge-t-il les passions ? » pp. 33-54

Le Mercure et les affiches, parmi cent folies théâtrales qu'ils ont l'exactitude de ramasser, et dont ils ont la bonté de régaler périodiquement la France, ont rapporté avec enthousiasme, comme un événement très important à l'Etat, qu’on avait peint la Clairon, seule à la vérité et sans amants, car pour les mettre tous il eût fallu un tableau comme ceux des batailles d'Alexandre ; que pour répandre un portrait si précieux, on l'avait fait graver par les plus grands maîtres ; et que partout les estampes étaient enlevées.

/ 364