., que les Loix sacrées de l’Evangile, & la morale profane, le Sanctuaire & le Théatre, font des objets inalliables. […] C’est une vérité, dont l’Evangile même, la raison & l’expérience ne nous permettent pas de douter. […] Ses plus cheres délices sont, de remplir avec édification, tous les dévoirs, que l’aimable sévérité de l’Evangile lui impose, & de témoigner à son Créateur, les sentimens d’amour, de reconnoissance & de respect, qui lui sont dus.
Les Prédicateurs auront beau prêcher, l’Évangile aura beau enseigner la charité, tandis qu’on ira prendre au théatre des leçons de moquerie, des modelles de médisance.
Aussi fait-il une vertu particuliere de la gaieté, qu’il nomme eutrapelie, & non de la tristesse, quoiqu’on puisse également rapporter à Dieu l’un & l’autre, & que la tristesse soit louée dans l’Evangile, beati qui lugent, va vobis qui ridetis, que le Seigneur air été triste jusqu’à la mort, que S.
C’est un homme dans une forêt qui ne sait quelle route suivre ; on n’écoute plus que l’intérêt, c’est le vrai mobile des Princes & des Sujets ; la Religion lui est sacrifiée, l’intérêt est le seul évangile qu’on consulte. […] Il auroit pu ajouter Pierre, Paul, Jacques & Jude sur les Epitres desquels la Religion est fondée comme sur les évangiles.