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261. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Riccoboni. » pp. 4-27

C’étoit, selon le goût du temps, des Courtisanes ou des esclaves, comme il paroît par le théatre de Plaute & de Térence ; & quoique la galanterie des femmes mariées & des filles de famille fût peut-être aussi commune qu’elle l’est de nos jours, la loi de la bienséance étoit assez écoutée à Rome, pour ne pas les introduire sur la scène.

262. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE II. De la Tragédie. » pp. 65-91

Un ouvrage qui développe et prouve trois vérités de cette importance, ne mérite-t-il pas bien d’être écouté ?

263. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118

Ecoutez les plaintes de Sigismond, dans La vie est un songe : « Parents dénaturés, à vos ordres bizarres, Quoi !

264. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50

 541.) contre ceux qui vont à la comédie : « Par nos mercuriales, dit-il, il est prohibé aux sieurs de la Cour d’aller voir ou écouter les Bateleurs et Comédiens, à cause des paroles et actions dissolues, lascives et scandaleuses, qu’on y voit, et afin que les Magistrats souverains ne s’aillent avilir et profaner parmi le peuple indiscret et irrespectueux. » Il entre ensuite dans un détail historique sur la différente conduite des Empereurs Romains à l’égard des Comédiens ; il prétend qu’on devrait les bannir, parce qu’ils ne font qu’amuser le peuple et le nourrir dans l’oisiveté.

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