, éd. 1609, p. 139. […] La première édition a été publiée à Rome par Paolo Manuzio, dans un volume d’Opera, en 1563. […] , II, 6, éd. cit., f. 61v, trad. fr., f. 124r-v. […] La référence ne correspond pas à l’édition des Constitutiones apostolicae, Lyon, G. […] Voir Concilium Constantinopolitanum a. 691/2 in Trullo habitum, éd.
[NDE] Ce texte a été établi à partir de l’édition de 1690, publiée chez Edme Couterot. La pagination est celle de l’édition de 1690.
L’amour paternel a eu la foiblesse d’aller déterrer des pieces du théatre, qu’il avoit composé il y a plus de 50 ans, que le public avoit heureusement oubliées, & qu’il se devoit à lui-même doublier aussi, & s’en répentir & en faire pénitence, comme Quinaut, Racine & la Fontaine, il en a donné une nouvelle édition, augmentée de plusieurs pieces d’une date plus récente, qui n’ajoutent pas de fleurons à sa couronne. […] Les théatres de Regnard, de Legrand, nouvelle édition. 5°. […] On lui fit signer des explications qu’il promit de faire imprimer dans une nouvelle Edition. […] Le même Abbé s’est avisé de faire revivre & de rajeunir Rabelais, ce débauché sans pudeur, dont le Pantagruel est un amas d’ordures ; il en a donné une Edition, en a fait un commentaire & une clef, où il tâche de deviner les allusions que Rabelais lui-même ignoroit, & substitue des mots intelligibles à des mots factices & ridicules qui ne signifient rien, & auxquels l’Auteur n’a voulu faire rien signifier.
La dernière édition de ce livre est de 1731, et se trouve à Paris chez la veuve Delaulne.
Marcel Mégal Clerc Régulier Théatin, dans l’Abrégé de son Institutionq. n. 16 p. 166 de l’édition de Modène […] [NDE] Della christiana moderatione del theatro (1646 ; 1652), édition complète en 6 vol., Florence, 1655.
On pourrait conjecturer avec un peu plus de vraisemblance, que Saint Ambroise ne regardait en ce lieu que les ecclésiastiques conformément au titre du livre rétabli dans l’édition des Bénédictins en cette forme : De officiis Ministrorum.
[NDA] Edition des Œuvres de M. de Voltaire en 11 Vol. […] Edition de Hollande, pag. 320.
Il y a eu de cet Ouvrage plusieurs éditions. […] On en donna en 1758 une seconde Edition. […] Leur succès nous a mis dans le cas de donner la présente Edition. […] Cette édition est pareille à celle de 1743. […] Cet Ecrit se trouve joint à la derniere édition de l’Ouvrage précédent.
Le fait a été révoqué en doute, sous prétexte que, des deux documents rapportés par Baronius touchant les privilèges concédés au doge de Venise par Alexandre III, le second ne parle pas du théâtre (Bertrand de La Tour, Réflexions morales, dans ses Œuvres complètes, éd.
Marc fut d’abord militaire, ensuite ecclésiastique, il courut le monde en aventurier ; enfin devenu Janséniste, il dèshonora la morale severe, & dépara plusieurs bons ouvrages en divers genres par des Romans, des pieces de théatre, des satyres & des éditions, des œuvres libertines de Chaulieu, St. […] Faire une Edition des œuvres de St. […] L’Abbé Pezzana, grand amateur de Romans & du Théatre, est venu de Florence à Paris veiller à l’Edition qu’on y a entreprise, du Roland furieux de l’Arioste qu’on ne connoissoit en France que par des traductions : livres plus frivoles & plus licencieux que tous les livres de Chevalerie & les contes des enchanteurs qui furent brûlés chez Dom Quichotte.
Il s’en est fait beaucoup d’éditions & de traductions, & mème des continuations qui ne valent pas les premiers volumes, & n’ont pas eu le même succès.
Cet ouvrage est devenu rare, & vrai-semblablement n’aura pas les-honneurs d’une seconde édition ; nous allons en extraire divers traits qui regardent le théatre, qu’on ne trouveroit pas ailleurs : ils serviront à en faire le portrait, sur-tout du côté de la galanterie, qui est le sujet de ce livre. […] L’Abbe d’Olivet, Prêtre, & long-temps Jésuite, vient de donner une nouvelle édition de ses Remarques grammaticales sur Racine.
Dans une nouvelle édition, Paris 1767, on a mis à la suite, un petit Traité sur les moyens de rendre la Comédie utile aux mœurs.
On invite tous les gens de lettres à y contribuer, il auront part à la gloire de Voltaire, cela est flatteur ; mais à toute la république des lettres, l’invitation est bien étendue, il est vrai que les gens de lettres ne sont pas pécunieux, & qu’on n’espere de se sauver que dans le nombre ; on avertit que M. d’Alembert sera le caissier, sans doute il y mettra beaucoup du sien, & il n’est pas douteux que quand la somme convenue sera remplie, & qu’on aura gagné apparament quelque sol par livre, pour les frais de la fête de la dédicace de la statue, la souscription sera fermée ; quelle apparence que les admirateurs du généreux Voltaire, par un sentiment bas & mercénaire, voulussent gagner sur le public, comme ces marchands libraires qui s’enrichissent par des annonces pompeuses, & des souscriptions frauduleuses, & comme Voltaire lui-même, qui par des éditions innombrables de ses ouvrages, a cent fois noblement vendu sa muse en gros & en détail, il est pourtant vrai que la voie de la souscription a quelque chose de mesquin, il ne convenoit guere de faire une quête pour l’illustre Voltaire. […] Le principal empire de Voltaire est le Parnasse, c’est là qu’assis sur un trône d’or, il prononce des oracles, il donne des loix en souverain, il pese le mérite des auteurs, il apprécie leurs ouvrages, il distribue l’immortalité, il sourit aux jolies actrices, & leur adresse ses vers ; il foudroye ses envieux, il écrase les reptiles, il enrichit les libraires, & met un impôt sur les éditions qu’il multiplie à l’infini, & qu’il fait voler ses productions & celles des autres, sous son nom, au-dela des mets, dans les terres australes.
De là le désir de ramasser des manuscrits, & de donner des éditions des anciens Auteurs ; non par lui-même, il n’étoit ni studieux, ni savant ; mais par des Litterateurs à ses gages. […] (de Bibiana) les deux dernieres éditions que nous ayons de 1558 & 1559 porte da Bibiana Cardinale, noavimenta ristempata, è correcta. Il en conclut que cette piéce n’a été imprimée qu’après sa mort, & il est vrai qu’il n’en reste aucune édition antérieure ; il cite quelque Lettre du Comte Baldessari, qui mande que la piéce a été réprésentée à la Cour d’Urbin, & nommée familierement Bibiana, sans lui donner le titre de Cardinal ; d’où il conclud qu’il n’étoit pas Cardinal encore.
On est surpris que Baillet n’ayant donné au public son Recueil de Jugemens sur les Poëtes qu’en 1686. ait pu ignorer qu’il avoit paru quatre ans auparavant, savoir en 1682. une édition des Oeuvres de Moliére en 8. volumes, dans le septiéme desquels se trouve le Festin de Pierre.
Voici donc ce qu’on lit dans son Discours préliminaire des deux Reines, Drame en quatre actes, en prose, belle édition avec gravures, 1769.
Dans le tome III de ses Principes de Littérature, cinquieme édition. […] Tome I de ses Œuvres, édition de 1754. […] Tome III de ses Principes de Littérature, cinquieme Edition. […] Ce fut alors qu’il forma le plan des éditions des Auteurs Classiques, ad usum Delphini ; & il le dirigea en partie.
Quelle confiance peut-on prendre dans le suffrage du Docteur, dont on a inséré l’approbation dans une Edition des Œuvres de D.P.
Quelle confiance peut-on prendre dans le suffrage du Docteur, dont on a inséré l’approbation dans une Edition des Œuvres de D.
On ferait une édition de toutes les Pièces telle qu’il serait permis de les jouer ; et les Troupes de Province, seraient obligées de s’y conformer sans réserve.
[NDE] Citation du drame historique de Dupeuty et Regnier, Napoléon ou Schoenbrunn et Sainte-Hélène (1830), où Napoléon dit de Talma, « si je n’avais craint les sots préjugés, je l’aurais décoré » (éd.
ed . 2 Tout ce que Dieu commande, par cela même devient nécessaire en soi, et d’une nécessité simple, sans que la circonstance du temps, ou du lieu, ou de la personne, en varie la nature. […] ed lib. 2. ep. 6. […] Comme par la suite, Vincent prend le mot au sens religieux de « ce qui est occasion de tomber dans l'erreur, dans le péché » (Dictionnaire de l’Académie, 1e éd. 1694). […] En distinguant scandale « pris » et « donné », Vincent joue sur les deux sens du mot, le sens religieux (scandale donné) et le sens moral que le Dictionnaire de l’Académie (1e éd., 1694) définit ainsi : « Se dit aussi de l'indignation qu'on a des actions et des discours de mauvais exemple. […] Le texte ne semble pas avoir varié dans les éditions ultérieures.
M. de Voltaire a eû soin de marquer dans une note de la nouvelle Edition des Œuvres de ce grand Homme, combien de pareilles fautes blessaient la vraisemblance ; il aurait bien dû s’élever aussi contre les Scènes où paraît l’Infante, qui ne sont ni liées au sujet, ni amenées par le discours des Acteurs ; il est vrai qu’on les retranche à présent ; mais Corneille ne les a pas moins faites.
Plusieurs célebres anglois, Grai, Pope, Venburton, avoient donné des observations sur des drames de Shakespear, personne n’avoit embrassé tout son théatre ; un allemand vient de faire pour lui ce que Voltaire a fait pour Corneille, une nouvelle édition de ses œuvres, avec un commentaire perpétuel, dix fois plus long que le texte, tels qu’étoient autrefois ceux de Saumaise, de Scaliger, de Lambin, sur les anciens auteurs, où le texte étoit noyé. […] Il fit quelques comédies : pour en faire pénitence, il quitta le monde, & passa chez les PP. de Sainte Génevieve les douze dernieres années de sa vie ; il y composa quelques bons livres, entr’autres il fit une édition des Œuvres choisies de Rousseau, supprimant ce qu’il y a de mauvais dans ce poëte, qui a si souvent abusé de ses talens.
Aussi a-t-on fait une édition des Fables choisies, d’où l’on a sagement élagué toutes ces dangereuses folies. […] Dorat vient d’en donner un second qui ne vaut pas mieux, ou plutôt une nouvelle Edition où il y à inséré quelque piece fugitive composé depuis, il est intitulé, mes Torts, ou nouveau Mêlange de Poésie pour servir de suite à mes fantaisies.
Fremer sento al suo pié tuoni, e saette, L’odo dar legge ai secoli futuri, E regolare delle sfere il corso ; E veggo a un cenno suo da’ loro oscuri Antri uscir gli Acquiloni che sul dorso Portan gli strali delle sue vendette. » ed Si ce Sonnet dont le style a paru à Rome avoir quelque conformité avec le style de David ; si le morceau de Tragédie traduit ci-dessus ne vous font l’un et l’autre accorder que de l’esprit à Mme de Tagliazucchi, vous conviendrez qu’elle a du génie, si vous voulez consulter le recueil poétique de L’Arcadie ; vous y trouverez un bon nombre de morceaux de tous genres, et dans le goût et le style de tous les différents poètes les plus célèbres de l’Italie, mais surtout du Dante, de Pétrarque, de l’Arioste. […] L’édition de 1782 précise cependant : « Qui croirait que cette plaisanterie, dont on voit assez l’application, ait été prise en France au pied de la lettre par des gens d’esprit !
C’est un gros in-4°. de plus de plus de 1000 pages, d’un caractere menu, dêdié au prince d’Orange, par M Durer, président au présidial de Moulins ; le privilége est de 1617 La seconde édition que nous avons, de 1619, imprimée à Yverdum, ville de Suisse, pays de Vaud, par la Société helvétiale. […] Un chevalier, enthousiaste du Patriarche de Bernai, lisant la nouvelle édition magnifique de cet homme adorable, remarqua que sa Mariamne parut en 1723 ; il en conclut qu’il y a cinquante ans que Voltaire est marié avec la scène, qu’il faut donc célébrer très-solennellement cette année cinquantenaire ou cinquantaine, ou cinquantieme, comme on voudra. […] Eh comment faire ce choix que dans une édition faite exprès, puisque le bien & le mal sont continuellement mêlés, soit par l’extrême négligence d’un auteur à qui tout est indifférent, soit par le libertinage d’un cœur qui ne suivoit que ses goûts & ses penchans, soit de dessein formé, afin que l’un servit de passeport à l’autre.
ed ; « Soyez Saints ; car je suis aussi Saint, le Seigneur votre Dieu » : « Que dirons-nous, s’écrie-t-il ; de ceux, qui courent aux spectacles, avec les Païens, souillant leurs yeux et leurs oreilles de paroles et de gestes impudiques, ils peuvent bien voir et sentir, quelle part ils ont choisie. […] ed Hom. 8. in Isa. […] [NDE] Salvien de Marseille, De vero judicio et providentia Dei libri VIII, éd. cit., 1575.
On n’a jamais vu en littérature une collection plus riche, ni en typographie de plus somptueuse édition. […] Marmontel à présider à cette édition, & il nous a promis d’y donner tous ses soins (charlatannerie il en est l’auteur).
Ainsi les précautions qu’on auroit prises, pour empêcher le sien de se repandre, serviroient à en multiplier les éditions. […] Rousseau, Dict. de musique, édition in-8°, tome 2, page 11, lui auroit appris « que nome signifioit chez les Grecs tout chant déterminé par des regles qu’il n’étoit pas permis d’enfreindre : tels étoient le nome Lydien, le nome Phrygien, etc., etc. ».
L’admiration de ses compatriotes s’est manifestée de toutes les manieres possibles, statues, fêtes, dédicaces, éditions multipliées & magnifiques, commentaires sur tout ses ouvrages, où on a cru trouver la pierre philosophale de l’art dramatique ; on a établi une chaire & des professeurs, & ouvert dans les Universités un cours de leçons publiques, pour expliquer les aphorismes de ce grand homme, comme ceux d’Hypocrate dans la Faculté de Médecine, & on y prend les dégrés de licencié & de docteur de théatre qui rendent habile à posséder des bénéfices. […] Statues, estampes, éditions, fêtes, dédicaces, rien n’est oublié.
En attendant l’édition de ce précieux recueil avec privilége exclusif des misères de la scène, nous continuerons à la regarder comme une très-mauvaise école. […] Croirait-on que ce même Voltaire vient de donner une édition de ce poëte au profit de cette nièce qui vit sous ses aîles, avec des notes critiques, où il épluche chaque pièce, chaque scène, chaque vers avec tant d’exactitude et malheureusement tant de justesse qu’il ne reste pas trente pages de bon du grand Corneille.
Loys jusques à present , Paris, 1611 (1e éd. 1580), tome 4 page 436]. « Ut omnis occasio tollatur scholasticos a studio avocandi, aut ad nequitiam adducendi, omnes histriones ab Academiae finibus migrent, et ultra pontes ablegentur ». […] [Isidore de Péluse, Epistolarum libri III, éd. […] [Isidore de Péluse (dans éd.
Ce Pape affecte de citer pour les Conciles l’édition du Jésuite Hardouin ; aurait-il cru que le nom et la robe de ce prodige d’érudition et de folie, mettrait quelque poids dans la balance auprès des mondains ?
Les Contes de Lafontaine ont eu vingt éditions plus que les Sermons de Bourdaloue. 2°. […] Qu’un Cordélier ait pris soin de l’édition italienne, où rien n’est voilé, il n’en a pas mieux fait.
[NDE] Nous corrigeons l’édition originale qui propose « quelques vertueux qu’ils fussent » à la suite de Racine.
C’est en la page 38. de la première Edition de cette Lettre, où saint Antonin Archevêque de Florence se trouve cité comme approbateur de la Comédie.