Qu’on en donne trois à un amusement qui remettra l’esprit dans son assiette, qui l’enrichira souvent de nouvelles idées, et qui d’un homme d’esprit et de goût pourra faire insensiblement un sage ; ces trois heures, ce me semble, ne seront pas les plus mal employées des dix-huit de loisir qui lui restent. […] Leur âme, toute grande qu’elle est, est trop pleine d’idées sublimes pour laisser place à un sentiment aussi petit et aussi ridicule que le préjugé établi contre nous dans la petite imagination des sots. […] L’Officier lui communiqua une idée, qui n’est peut-être pas sans inconvénients, mais qui mise en exécution retiendrait infailliblement mieux les faux braves que tout autre règlement qui ait paru jusqu’ici. […] Un Censeur sage, honnête homme et vraiment zélé, ne répand point le fiel et l’infamie sur ceux dont les mœurs le choquent, il leur montre le chemin de la Vertu et s’en tient là : mais quelle opinion n’est-il pas permis d’avoir d’un homme qui quitte le Paradis terrestre (car la magnifique description que vous faites de Genève en donne cette idée), quelle opinion, dis-je, n’est-il pas permis d’avoir d’un petit Auteur qui quitte un séjour si délicieux pour venir insulter une nation respectable, blâmer tous ses usages et ses goûts, lancer des traits critiques sur son Gouvernement, prêcher l’indépendance, et vanter le bonheur des Iroquois et des Caraïbes, c’est-à-dire l’orgueil, la férocité, la révolte, la cruauté à un Peuple accoutumé à chérir ses Rois, et qui se distingue par sa docilité, par son zèle et son respect pour les lois ?
IdT — Les idées du théâtre. […] IdT — Les idées du théâtre. […] IdT — Les idées du théâtre. […] IdT — Les idées du théâtre. […] ), fragment « Quelle idée plus bizarre… », p. 203-204.
Quichotte, qui rend mal de fort bonnes pensées ; mais les Auteurs n’ont eu assurément en cela aucune idée de jouer le Ciel. […] Combien de jeunes gens, peu assidus aux Prédications les plus saintes & les plus éloquentes, ne conserveroient aucune idée des bonnes mœurs, s’ils n’étoient attirés aux Spectacles par l’appas du plaisir ; & il faut avouer que lorsqu’un trait de morale s’y rencontre, il frappe d’autant plus que l’on s’attendoit moins à l’y trouver.
C’est même un trait de libertinage, & un outrage fait au Roi, de présenter sur un théatre l’idée qu’on ne pourroit trop oublier de sa passion criminelle pour Madame de Montespan. […] Il est formé de main de maître sur les débris de la charité, dont on lui a fait perdre jusqu’à l’idée à l’école de la plaisanterie.
Toute cette piece si vantée est pleine de phrases les plus louches, de termes grossiers, d’idées triviales, de répétitions, de mauvais mots, de rimes fausses, de tours vicieux, de fautes de poësies, &c. de caractères outrés : De chaque caractère il passe les limites. […] Cette idée, tout-à-fait louche, est sans vrai-semblance : le Roi fait-il rendre aux criminels d’État les papiers importans qu’on leur a surpris ?
Le Philosophe immortel qui fait tant d’honneur à notre siècle, rira de mon sentiment : sans ôser combattre ce grand homme, je vais proposer mes idées ; s’il trouve que je sois dans l’erreur, il daignera me faire grâce ; il sait trop que les malheureux humains sont sujets à se tromper. […] Son principal mérite est d’avoir retenu quelquefois la construction latine ; mais je crois avoir prouvé en peu de mots que les inversions des membres d’une phrase répandaient de l’obscurité dans le discours ; & que la Nature éxige qu’on èxprime ses idées dans le même ordre, & avec autant de clarté qu’on les conçoit.
L’idée de la comédie, portée à l’Eglise, portée partout, dégoûte de toute pratique de religion : le théâtre inspire un esprit de dissipation et de frivolité, un goût de mollesse et de volupté, un penchant à la satire et à la malignité, une tournure de mensonge et de fausseté, un ton d’irréligion et d’impiété, le mépris de tout objet sérieux, l’opposition à toute réflexion religieuse ; prière, lecture, instruction, visite des pauvres, pénitence, modestie, en un mot il éloigne de tout ce qui forme la vie Chrétienne. […] Le spectacle écarte toutes ces idées, éteint tous ces sentiments, abolit tous ces exercices.
Idée que Mr. l’Abbé Fleury a donnée de la Comédie dans Les Mœurs des Chrétiens, imprimés en 1682. […] Vous remarquerez qu’il n’y en a presque point qui ne flattent avec ce fard qui en déguise l’horreur, et en fait aimer l’injustice et l’infamie, qui ne soient employées à faire éclater des flammes criminelles, qui ne soient remplies d’équivoques déshonnêtes, et qui ne portent dans l’imagination des idées si sales et si honteuses, qu’il est impossible qu’elles ne blessent entièrement la pureté.
On regarde cela comme une histoire ou une aventure représentée au naturel, dont la représentation et l’idée disparaît entièrement au même moment que le rideau est tiré. […] » Cette idée de la Comédie séparée de toutes circonstances, dont Saint Thomas a parlé, est une idée générale et spéculative de la Comédie que l’on peut regarder comme une chose de soi indifférente, qui n’est ni bonne, ni mauvaise. […] La seconde, quand il y aurait quelque chose de libre dans le corps de la Pièce, ou dans ce qui la finit, cela ne pourrait rendre la Comédie mauvaise, que par rapport à ceux à qui elle serait une occasion prochaine de péché, et non pas à l’égard de ceux qui vont à la Comédie, sans en recevoir aucune impression, ni sans en remporter aucune mauvaise idée, et qui par conséquent sont hors de danger de péché. […] L’on ne demeure point d’accord que la plupart des Comédies soient réformées à un point qu’elles n’impriment, ou qu’elles ne laissent point de mauvaises idées capables de corrompre la pureté des mœurs d’un Chrétien.
C’est justement le cas où vous vous trouvez, Monsieur : il falloit examiner par vous-même ; on ne voit jamais bien par les yeux des autres ; on ne peut rapporter les choses que selon l’idée qu’on s’en forme, & nos sensations sont toutes différentes : d’ailleurs, il est difficile de trouver un homme désintéressé : enfin vous deviez vous exposer au danger, si vous vouliez remporter une gloire solide & méritée.
Les questions captieuses qu’on lui fait, qui sont dans les vieux livres de logique, sur l’article de dilemme ; tout y est sans vraisemblance ou sans agrémens, même dans un fou, sous l’idée ridicule des géans, des enchanteurs, qui se trouvent sur tous ses pas, tout cela est moins amusant que les Contes des Fées ou les Mille & un jour.
Chrysostome fait retrancher, ce qu’il y avoit de plus dissolu & de plus honteux : mais quelque reforme, qu’on y eut fait, le même Saint ne laisse pas de les appeler « des écoles d’impuretés & de libertinage » : non pas qu’on y representât des actions sales sur le Theatre, ce que les pieux Empereurs n’auroient pas souffert ; mais parce que les Comediens de l’un & de l’autre sexe ne s’étudioient, qu’à se servir de paroles équivoques, & de gestes affectés, qui n’étoient propres, qu’à remplir l’esprit d’idées impures, & le cœur de mauvais desirs.
Conc. d’Arles, an 1234, can. 2. » L’inexécution de ces lois, qui sont fondamentales et organiques de la discipline de l’Eglise, est une des causes principales de l’espèce de défection ou de refroidissement, dans lequel sont tombés la plupart des fidèles : elle leur a servi et leur sert journellement de prétexte pour éluder l’exécution des canons qui les concernent personnellement ; ils se familiarisent ainsi avec l’idée que, puisque la parole de Dieu et les préceptes de son Eglise ne sont pas strictement observés, par ceux qu’il a institués à cet effet, ils peuvent eux-mêmes, sans crainte de la damnation éternelle, les enfreindre ou ne pas les pratiquer.
Mais il semble qu’au dix-septième siècle on était loin d’avoir sur cette profession, en général, les idées qui règnent de nos jours.
Justifions cette idée. […] En mourant elle défendit de toucher à son corps, & de le voir nud, afin qu’on ne perdit pas l’idée qu’on avoit de sa beauté, & qu’on ne fut pas instruit de ses défauts cachés qu’on dit avoir été grands. […] Cette idée est de Fontenelle, dans son livre des Mondes. […] Cet aspect & ces idées sont ce qu’il y a de plus agréable dans le mariage.
Pour avoir une juste idée des spectacles, il les faut considérer, Messieurs, sous deux faces differentes. […] Mais il ne le soûtient que suivant l’idée métaphysique qu’il s’en est formée. […] En vérité ceux qui attribuent un si noble effet à une si chétive cause, se servent bien mal de leur raison, & ont une idée bien basse de la sagesse du Fils pour l’établissement de la vérité, qu’il nous a’apportée du sein du Pere.
Ceux qui se plaisent à ces livres, entrent insensiblement dans les sentiments des personnes dont ils lisent les aventures, et comme ils n’ont pas assez de force pour imiter leur vertu, tout le cœur se porte vers leur amour, le moindre mal qui en puisse arriver, est de se remplir l’esprit de toutes ces vaines idées de tendresse, qui nourrissent un esprit dans l’oisiveté, et qui ne tardent guère à gâter les mœurs. […] Qu’un Bourgeois ou qu’un Valet débauché parle d’amour dans une Comédie, on s’en défie aussitôt, et l’on évite un spectacle si indigne de la probité d’un honnête homme, à cause du peu d’idée que l’on a de la vertu du Valet ou du Bourgeois. […] Si l’Auteur d’Iphigénie vous avait consulté avant que de travailler à sa Pièce, et s’il vous avait dit qu’il voulait faire paraître sur le Théâtre une Princesse dont toute la tendresse serait pour un Père et non pas pour un Amant, car voilà, ce me semble, le caractère de son Iphigénie ; ne lui auriez-vous pas répondu que cela aurait été contre la coutume ; ne lui auriez-vous pas dit que cette idée générale d’immolation de victimes humaines, qui règne en toute la Pièce, n’aurait guère été conforme à nos mœurs, et enfin ne lui auriez-vous pas fait les mêmes difficultés que vous me faites ?
L’art de la danse dans sa juste idée, est l’art de peindre & d’exciter les passions, & d’en présenter les objets par les mouvemens du corps, c’est la volupté en action, le cœur en mouvement, comme la peinture représente par les couleurs, la musique par les sons. […] Ce n’étoit pas l’objet des amours du Prince, c’étoit sa niece, & la parenté, sur-tout dans les ascendans, écarte l’idée du crime ; on la fait venir dans la salle du repas, comme tous les jours dans les familles on fait danser un enfant pour s’amuser & le faire briller ; une jeune Princesse, sans doute bien élevée & décente, qui n’étoit point exercée à tendre des pieges à la vertu, & ne prétendoit pas à la conquête de son vieux oncle au préjudice de sa mere, si neuve, si simple, que ne sachant que demander, elle va consulter sa mère, court répéter ses paroles, reçoit la tête de Jean-Baptiste, & la lui donne.
Pour rendre cette Tragédie parfaite, je voudrais retrancher jusqu’à la moindre idée d’amour dans le cœur d’Æmilie ; j’ai toujours pensé, en voyant représenter Cinna, qu’Æmilie n’aime point, et qu’elle ne respire que la vengeance ; et je suis persuadé qu’un Spectateur, qui entre dans cette pensée, regardera les plus vives expressions de l’amour d’Æmilie, comme autant de feintes auxquelles elle a recours pour engager Cinna à poignarder Auguste ; car on sait que ce sont là les armes ordinaires des femmes, lorsqu’elles veulent parvenir à leurs desseins. […] Si l’on consulte la Préface de cette Tragédie, personne ne s’imaginera qu’il y ait la moindre idée d’amour : Le grand Corneille y dit expressément : Vous n’y trouverez ni tendresse d’amour, ni emportement de passion, etc.
La plume tombe des mains à cette idée ;50 qu’on l’écarte tant qu’on voudra, qu’on m’accuse d’outrer la prévoyance, je n’ai plus qu’un mot à dire. […] ne serait-il pas décent, abstraction de cagotisme, qu’elles se tinssent dans les lieux saints, de la façon qu’exige l’idée du Temple de l’Immortel ? […] Mais il faut avouer que la plûpart de ces peines ont moins été prononcées contre des Comédiens [le vulgaire confond le Comédien avec les Farceurs] proprement dits, que contre des Histrions ou Farceurs publics qui mettaient dans leurs jeux toutes sortes d’obscénités ; & que le Théâtre étant devenu plus épuré, on a conçu une idée moins désavantageuse des Comédiens. […] Pour donner une idée juste de cet événement, il est bon de savoir que le siècle était alors si grossier, que l’on croyait pouvoir racheter des années de supplice avec un morceau de papier vendu à vil prix. […] Je ne puis m’empêcher d’epitomer une partie des traits mémorables de cette Ville, pour donner une idée de sa grandeur dans tous les têms, & des hommes illustres qu’elle a vu naître ; ce sera rappeller à ceux qui en savent l’histoire, des traits qui peut-être sont échappés à leur mémoire, & ceux qui les ignorent m’en sauront peut-être bon gré.
Fort de la pureté de mes intentions et de la certitude que mon opinion nouvelle, en cas d’erreur, et du reproche imminent d’avoir négligé ce précepte : Sumite materiam vestris qui scribitis æquam viribus , ne peut causer aucun mal, et pourrait encore, au contraire, donner quelques indications neuves et faire naître des idées utiles à d’autres écrivains plus exercés, qui considéreraient ce sujet sous de nouveaux points de vue ; j’aurai le courage d’écrire, de soumettre à la discussion la plus solennelle, et au jugement des hommes les mieux éclairés ce que je crois avoir remarqué de plus, en continuant de chercher de bonne foi, et sans d’autre passion que celle du bonheur commun, comment il s’est fait que, malgré toutes nos lumières et nos belles institutions, malgré nos immenses bibliothèques renfermant tant de plans et de systèmes, ou de bons livres destinés à nous améliorer, comme ceux qui paraissent encore tous les jours sous toutes les formes ; et malgré les exemples, les efforts successifs et continuels des orateurs les plus éloquents et les plus vertueux, et des sages les plus instruits, les plus persuasifs, secondés par les plus vigoureuses satires et censures ou critiques vivantes de nos personnes, de nos défauts et de nos vices, nous soyons toujours tombés en effet de plus en plus dans le relâchement, et soyons arrivés sitôt au degré de cette effrayante dissolution de mœurs dont un parti accuse aujourd’hui avec si peu de discernement ces moyens mêmes de réformation.
Je n’ai en vue que les vains raisonneurs, les prétendus philosophes du siécle, qui n’ont d’autre interêt à déprimer le Spectacle moderne, que pour soutenir leurs idées.
Les Romains attachoient la même idée à leur mot urbanitas.
Cicéron, idée qu’il donne de la Comédie, 197 S.
Pour laisser au public une idée de l’héroïsme d’Alexandre, il faut le peindre au-dessus de lui-même, afin qu’il gagne par cette exagération ce qu’il perd à n’être que représenté. […] Vous croyez qu’on pourroit faire sur votre idée un nouveau Misantrope. […] S’il le refuse c’est qu’il est si excessif dans ses idées et; dans ses actions, qu’il en devient tout-à-fait condamnable. […] Dans l’idée que chaque homme s’est formé des duels, il a cru son honneur engagé à ne les pas regarder honteux, par la crainte d’être soupçonné de poltronnerie. […] Confondrons-nous toujours nos idées.
Quelle idée peut-on se faire du Sénat Britannique, dont à peine on peut arracher les membres à leurs frivoles amusemens, pour former les assemblées, dans un temps où lès plus grandes affaires ne laissent pas un moment à perdre ? […] Il est trop long pour le rapporter tout entier : il suffira d’en donner une idée.
Achevons aujourd’hui, mon amie, de donner a ces aimables Enfans, une idée de tout ce qu’il y a de spectaculeux dans la Capitale. […] Rien de plus légitime, que le gain que fait un Artiste intelligent, inventeur d’un ouvrage au-dessus des vues communes ; & rien de plus naturel que la curiosité de l’homme qui cherche à s’instruire, à acquérir de nouvelles lumières : la vue d’une machine quelconque, inutile en elle-même, a souvent fait naître les idées les plus heureuses pour les commodités de la vie.
Pour ce qui est de Théodore, elle donne une idée d’une prostitution tout à fait honteuse. […] Ainsi cette pièce expose les personnes les plus pieuses à une raillerie et à une censure inévitable, et sur l’idée qu’on aura de ce faux dévot, on prendra occasion de les traiter impitoyablement pour la moindre faute qu’on leur verra faire, et de les mettre en parallèle avec Tartuffe.
Philippe le Bel goûta cette idée, et pour les animer au travail, en forma un corps en 1303, leur permit de se choisir un chef qu’il appela Roi, à peu près comme le Roi de la fève, le Roi des ribauds, des arbalétriers, etc., et des Officiers qu’il décora du titre de Chancelier, de Maître des Requêtes, de Procureur général, d’Aumônier, de grand Référendaire, grand Audiencier, etc. […] L’uniformité du style, la répétition fréquente d’expressions singulières, l’adoption des mêmes idées, et sa propre lettre, font connaître évidemment que le tout est l’ouvrage du même homme, suivant qu’il en a été convaincu dans la première assemblée, du moins il y a avoué avoir vu et retouché les Mémoires à consulter, et autres pièces, avoir écrit le tout de sa main, et avoir corrigé les épreuves.
parler le langage du vice, en prendre les allures, en peindre les horreurs, en excuser les excès, en inspirer le goût, en faire sentir les mouvements, en ouvrir l'école, en donner des leçons, l'ériger en vertu, tromper, aveugler les hommes, fixer leur attention sur des objets méprisables et criminels, effacer les idées des biens et des maux éternels, pour ne mettre le bonheur ou le malheur que dans le succès ou les obstacles de la passion, s'en faire un art, un métier, un état de vie, y consacrer tous ses talents, ses moments, ses forces, sa santé ! […] Idées frivoles, fruits d'une imagination dépravée, qui ne changeant rien dans la réalité des choses, ne servent qu'à égarer celui qui les suit.
¶ Il ne paroit pas avoir voulu donner de lui cette idée, lors qu’il a dit dans sa préface sur les Facheux, qu’il ne désespéroit pas de faire voir un jour en grand Auteur, qu’il pouvoit citer Aristote, & Horace.
D’ailleurs, c’est une idée que l’amour du bien public, l’avantage des Lettres, & la gloire des Auteurs m’ont suggérée, & que je hasarde.
Mais il n’est point du tout singulier de voir des idées gigantesques dans un poëte dont le prétendu sublime n’est qu’un ridicule, ni de voir deux poëtes en contradiction, l’un blâmer ce que l’autre loue, l’un mettre au-dessus du Maître du monde, ce que l’autre met au-dessous d’une femme.
407 [G] donne une idée des Théâtres des Anciens.