Sed ut illi antiqui viri solebant virilem in modum tripudiare, non facturi detrimentum etiamsi ab hostibus suis spectarentur. » Seneca de tranquill. c. […] « Magni viri post magnas curas, relaxandi animi gratia, moderatissime ab iis aliquid voluptatis assumunt, quam interdum sic capere modestissimum est ; ab ea vero capi vel incerdum turpe et indecorum est. » D. […] « Docent adulteria dum fingunt, et simulatis erudiunt ad vera : Quid juvenes, et virgines faciant, cum hæc et fieri sine pudore, et spectari libenter ab omnibus cernunt ? […] Sed ut illi antiqui viri solebant virilem in modum tripudiare, non facturi detrimentum etiamsi ab hostibus suis spectarentur. » Seneca de tranquill. c. […] ab.
« La Jeunesse de Rome ne souffrit point que ce genre de Comédie fût souillé par les Acteurs publics. » Juventus ab histrionibus pollui non Passa est.
Della Donna in generale si legge, che il peccatore sarà preso da lei, « Peccator capietur ab illa. […] Virum Femina advertens se tangi ab alio affectu libidinoso, sensata sub peccata mortali se retrahere, vel impedire talem contactum. […] » Ed altrove dice. « Nisi te ab oculorumExhort.De timore. […] manus ab alienis: oculos ab aliena. […] Si sic cantas, ut ab aliis laudem queras, vocem tuam vendis.
ab.
Tertullien considerant que les premiers Chrétiens dont la foy étoit encore tendre & delicate, se laissoient entraîner au plaisirs des spectacles publiques, par l’exemple des Gentils, a employé toute la force de ses raisons pour les en détourner, en leur faisant voir que les divertissemens du theatre n’étoient proprement qu’un reste de superstition & d’idolatrie, qui perseveroit encore dans le christianisme, à la honte des Chrétiens ; & que toutes les choses qui se representoient dans ces fortes de spectacles, n’étoient dans le fond qu’une idolatrie deguisée, & qu’un paganisme travesty, dont le demon étoit l’autheur ; je ne sçay pas ce que vous en pensés, mais voicy ce qu’il en a dit : dæmones ab initio prospicientes sibi . […] Il ne nous conduit aussi, & ne nous conserve dans cét état que par l’esprit de penitence & de mortification, qui fait mourir le vieil homme avec toutes ses passions, & qui crucifie la chair avec toutes ses concupiscences : mais comme l’homme a une aversion naturelle pour tout ce qui gene sa liberté, & qui fait violence à la nature, & que d’ailleurs il a un furieux panchant pour tout ce qui peut flater ses inclinations corrompuës, & luy donner du plaisir : que fait le demon, il se met entre deux, & prend une conduite qui contrarie les desseins de Dieu, & qui flate les passions de l’homme : & afin d’empêcher, ou de corrompre cette sainteté à laquelle nôtre profession nous oblige, il nous attire si fortement à luy par l’amorce des plaisirs de la vie, qui sont les veritables poisons de la sainteté, que Tertullien nous assure que dans la naissance de l’Eglise plusieurs furent detournés de se faire Chrétiens plutôt par la crainte de renoncer au plaisir, que de perdre la vie, plures invenias quos magis periculum voluptatis, quam vitæ avocet ab hac sectaL. de spect. c. 2. […] Car, dites-moy je vous prie, voicy comme argumentoit autrefois Tertullien, contre quelques Chrétiens relâchez de son temps, s’il ne vous est pas permis de soüiller vôtre goût & vôtre ventre, en mangeant des viandes qui sont sacrifiées aux Idoles, si ventrem & gulam ab inquinamentis liberamus, quanto magis oculos, & aures ab idolothitis, & necrothitis voluptatibus abstinemusL. de spect. cap. 24.
ab.
On ne lui rendait pas justice, il ne voulut jamais la voir, il lui fit donner de sages avis et la renvoya : « Numquam spectavit aut vidit, postea redire præcepit. » Il voulut par là donner aux jeunes gens et des leçons et des exemples, pour les corriger de l’amour des femmes, en méprisant une Actrice célèbre, qui était en son pouvoir : « Ut adolescentes doceret ab amore mulieri temperare, quam qui haberet in potestate despiceret. » Il n’était pourtant pas marié, ajoute S.
ab.
Pauci nobiles qui excidio superfuerant, quasi pro summo deletæ urbis remedio circenses ab Imperatoribus postulabant. […] . « Tum per plateas, tum in Theatro contumeliose vociferari adversus Gregoriam cœpere, ne scenicis quidem ab ejusmodi petulantiâ abstinentibus. […] ab hoc ritu quem prava nonnullorum hominum imitatio invenit, prorsus abstinendum esse, et præter honestas ac morales fabulas, voce gestuque exhibendas, nihil omninò spectaculi permittere. […] décide qu’un Evêque ne doit rien recevoir d’un excommunié. « Episcopum placuit ab eo qui non communicat, munus accipere non debere. […] [NDA] « Postquam lege hac fabularum ab risu ac soluto joco res avocabatur ; et ludus paulatim in artem verterat, juventus Histrionibus fabellarum actu relicto etc.
« Comme au premier de nos poètes, au maître de notre langue poétique, au créateur de nos trois scènes, au père du théâtre ab ! […] [NDE] Traduction de la devise latine du poète Jean-Baptiste Senteuil "Castigat ridendo mores", ab.
Voudrait-il renouveler le système du philosophe Italien Bernardin Teletius, qui ne donne qu'une âme à tout le genre animal, dans son livre que le concile de Trente a mis au nombre des livres défendus, intitulé, Quod universum animal ab unica anima substantia gubernetur. […] » C'est assurément commencer le roman ab ovo (il faut des soins pour plaire, il n'en faut point pour aimer) : « Des écrits mutuels servaient nos ardeurs, j'envoyais à Comminges et mon âme et mes pleurs.
: « Qui quærit legem replebitur ab ea, et qui insidiose agit scandalisabitur in ea. […] [NDA] « Noverit propter hæc forte ab antiquis fuisse decretum, nequi adolescentiores legerent Genesoes librum, ac partem Ezechielis Prophetæ, vel canticum canticorum, et cætera alia in quibus generationes et actus et nomina quædam scripta sunt mulierum.
Servi Dei Doctrina debitâ cum reverentiâ potest citrà ullam temeritatis notam impugnari, si modesta impugnatio bonis rationibus innixasit, etiam postquam Dei servus qui scripsit inter Beatos aut Sanctos fuerit relatus… ab humano quidem exemptus est judicio, ne de gloriâ ejus dubitemus, sed non ut minus de ejus dictis disputemus 97.
Non oderis laboriosa opera & rusticationem creatam ab altissimo.
ab.
ab.
« Qui servo persuasit ut furtum faceret, vel leno, vel seditiosus existeret, vel in spectaculis nimius, tenetur actione de servo corrupto. » Ce que Mornac sur cette loi applique en ces termes aux enfants de famille à qui on donne ces sentiments : « Deteriores facti ab aliquo nebulone qui eorum adolescentiam fregerit, libidine vino, ludicræ artis more perinquinaverit. » Le théâtre lui-même souffre de la fréquentation du peuple, il faut le servir à son goût, on se met dans la nécessité des grossièretés, des obscénités, des bouffonneries ; on ne lui plaît que par là.
[NDA] Tertull. « Dii ab invitis hostias non exigunt. […] Eccl. 3. « Tempus amplexandi, et tempus longè fieri ab ampleribus.
Il donna Théodore ab ; cette dernière ne réussit point. […] ab.
ab , qu’entre ceux qui hantaient ces Théâtres, et même qui y étaient forcenés, il y en avait qui présentaient une très belle apparence de piété : Or durant que ces Théâtres étaient Païens, ceux qui voulaient être tenus pour vrais Chrétiens, s’en séquestraient tout à fait, comme nous en ferons apparoir au chapitre septième. […] La Censure de Scipion surnommé Nasica leur fut aussi fort défavorable, Car il fit rayer de dessus la matriculebi des Citoyens, tous ceux qui se mêlaient du Théâtre, et les assujettit à payer tribut, Ce qu’il fit « à cause qu’ils corrompaient les mœurs et étaient pernicieux à la République »Alexander ab Alex[andro]. lib. 6, cap. 19. […] ab Lactance, De Divinis Institutionibus, lib. 6. cap. 20. […] bh Alexander ab Alex[andro]. lib. 6, cap. 19.
cependant, nihil est ab omni parte beatum , foit faute d’argent, de tems ou de soin, l’Entrepreneur, qui l’auroit cru, n’a pas eu des habits de théatre, il a falu emprunter les habits, les robes, les jupes, les coëffures des plus hupés.
ab.
.), défend la comédie aux Ecclésiastiques par diverses raisons prises de l’Ecriture et de leur état, et assure que les mêmes vérités regardent les laïques : « Cum ab omnibus Christianis, juxta Apostoli documentum, scurrilitas et statiloquium sint cavendæ, multo magis Sacerdotibus, qui aliis exemplum et condimentum salutis esse debent.
« Spectacula, ludos, ludicraque id generis quæ ab Ethnicorum moribus originem ducunt, disciplinæque Christianæ adversantur, perpetuo detestabitur, execrabitur : demonstrabit incommda publicasque inde ærumnas, in populum Christianum dimanare.
Je serais très affligé du soupçon d’avoir « violé leur secret » ab ; surtout si ce soupçon venait de votre part ; permettez-moi de vous faire remarquer que l’énumération des moyens par lesquels vous supposez que j’ai pu juger de leur doctrine, n’est pas complète. […] , p. 220 : « Spectacles et Comédies dans toute petite République et surtout dans Genève, affaiblissement d’Etat. » ab.
ab.
« Quanto studio ab urbe ludos ipsos scenicos abstulisset, si, etc. » Sachez donc, vous qui l’ignorez ou le dissimulez, et qui murmurez contre votre libérateur que ces jeux scéniques, ces spectacles d’impureté, cette licence de vanité, sont l’ouvrage de vos faux Dieux.
A moins que ce ne soit peut-être pour une cause nécessaire et importante, telle que le serait celle, où il s’agirait de sauver sa vie, son honneur, ou sa liberté. « Potest tamen hoc fieri sine peccato propter aliquam necessitatem, vel causa se occultandi ab hostibus, vel propter defectum alterius vestimenti, vel propter aliud hujusmodi.
Ne vos, fideles mei, ab illis seduci patiamini, qui in animarum regimine minùs versati, Théatralia oblectamenta promovent, afferentes, hujusmodi esse Sanctorum Patrum declamationes adversùs eorum temporum spectacula proditas, hodiernis verù minime convenientes… id unum referam, quod de ipsis hujus generis oblectamentis censuerunt 36 inter Cardinales, Archiepiscopos atque Episeopos ditionis ecclesiasticœ, duobus circiter abhine mensibus, ab insis subscripto, cut nos etiam libenter subscrip simus, in quo sic hubent… & nos infrà &c unanimi consersune censemus, Comœdias… mognum divinœ offensœ periculum prœ se ferre, nec modicum vitio incitamentum prœbere, & valde periculosam, & morum corruptélœ occasioneix exhibere…
« A Londres, dites-vous, un Drame intéresse en faisant haïr les Français, à Tunis la belle passion serait la piraterie, à Messine une vengeance bien savoureuse, à Goa l’honneur de brûler des Juifs »ab : pourquoi citer des goûts atroces pour en faire induire que le nôtre est mauvais et pour atténuer les bonnes raisons que nous avons de trouver nos pièces bonnes ? […] En ce sens il semblerait que cet effet, se bornant à charger et non changer les mœurs établies, la Comédie serait bonne aux bons et mauvaise aux méchants. » ab.
Non sumus ergo pares…, Præterea sanctum nihil est, & ab inguine tutum.
Et cependant cette servante si plattement bouffonne, dit souvent de beaux vers, d’un tour, d’une élévation fort au-dessus de son état, qui font un contraste avec sa bassesse & ses plattitudes, & couvre l’Auteur de ridicule : Servetur adimum qualis ab incapto processerit, & sibi constet.
ab.