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333. (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIV. Le sentiment, juge plus sûr que le goût. Celui-ci préféré au premier. Pourquoi ? Amour du Théatre, funestes à ses progrès. Honneurs avilis en devenant trop communs. Cabales. Leurs effets, & les moyens qu’on employe pour les éluder.  » pp. 129-150

Que le Lecteur prononce sur ce partage ridicule des applaudissemens, sur le découragement où nos demi-connoissances doivent jetter les Poëtes, & sur les suites qu’elles ont à l’égard du Théatre.

334. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Siécle de Louis XV. Chap. 2. » pp. 161-170

Mais il n’est point du tout singulier de voir des idées gigantesques dans un poëte dont le prétendu sublime n’est qu’un ridicule, ni de voir deux poëtes en contradiction, l’un blâmer ce que l’autre loue, l’un mettre au-dessus du Maître du monde, ce que l’autre met au-dessous d’une femme.

335. (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292

Vous avez trop de piété, Monsieur, pour vouloir en dédire Saint Augustin : mais s’il m’était permis de me citer, profane que je suis, après une autorité sacrée, j’oserais vous rappeler une tirade de ma Satire, où j’ai fait voir qu’on ne va point à la Comédie pour se rendre plus vertueux ; qu’on y va seulement dans la vue d’un délassement agréable ; qu’au contraire notre orgueil se rend quelquefois plus fier par le plaisir malin que nous sentons à détourner sur le prochain la peinture des vices qui sont représentés dans les Comédies ; qu’enfin tout le fruit qu’on en retire, c’est d’apprendre le secret d’être vicieux, sans passer pour ridicule.

336. (1662) Pédagogue des familles chrétiennes « Instruction chrétienne sur la Comédie. » pp. 443-453

Toute la rimaille que ces badins viennent déclamer sur leur Echafaud, n’est souvent remplie que de fables ridicules, où n’y a autre vérité, sinon qu’ils publient en vers, les vices qui se commettent en prose dans les maisons : ce qui ne peut agréer aux personnes raisonnables.

337. (1761) Epître sur les spectacles « Epître sur les spectacles » pp. 3-14

Un Manant ridicule est le plaisant objet Qui rassemble Paris : honteux je me retire, Et laisse mes Badauds qui se pâmaient de rire.

338. (1802) Sur les spectacles « FUITE DES MUSES ET DU BON GOUT : Peut-on compter sur leur retour ? » pp. 3-11

On favorise la ridicule avidité du moment, et l’on en rit sous cape.

339. (1722) Chocquet, Louis [article du Supplément au Dictionnaire Historique et Critique] « article » pp. 42-44

N’étoit-ce pas donner dans le ridicule, & y tourner indirectement la Sainte & Apostolique cérémonie de l’imposition des mains ?

340. (1753) Compte rendu de Ramire « Compte rendu de Ramire » pp. 842-864

L’Evangile & le Théâtre opposés, leurs maximes contraires forment ici un contraste frappant, dont l’Auteur profite pour rappeller aux Chrétiens la sainteté de leur profession, & surtout l’obligation ou sont les pères & mères d’instruire leurs enfans dans la foi, de les former à la piété, de veiller sur leur innocence, & d’en écarter tout ce qui peut la séduire & la corrompre, soit en affoiblissant les attraits vertueux par le ridicule qu’on y attache ; soit en fortifiant les penchants vicieux par l’honneur qu’on en tire.

341. (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre I. Du Théâtre des Anciens. » pp. 2-24

Enfin les grands hommes ont mérité les regards de leur contemporains, avant les ridicules de la vie privée.

342. (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien cinquieme. Le danger de la Comedie en particulier, decouvert par le R. P. F. Guilloré de la Compagnie de Jesus. » pp. 67-79

Mais la preuve de ce que je dis se fortifie beaucoup, par la nature de plusieurs pieces de theatre, qui font aujourd’huy le plus agreable divertissement des auditeurs ; car souvent, où elles sont toutes bouffonnes, ou elles peuvent passer pour impies, étant une chose trop connuë, qu’on en a vû, qui tournoient toute la devotion, & la pieté en ridicule.

343. (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « EXTRAIT Du Journal de Trevoux ; Mois d’Avril 1753. Art. XXXIX. » pp. 59-70

L’Evangile & le Théâtre opposés, leurs maximes contraires forment ici un contraste frappant, dont l’Auteur profite pour rappeller aux Chrétiens la sainteté de leur profession, & surtout l’obligation où sont les pères & mères d’instruire leurs enfans dans la foi, de les former à la piété, de veiller sur leur innocence, & d’en écarter tout ce qui peut la séduire & la corrompre, soit en affoiblissant les attraits vertueux par le ridicule qu’on y attache ; soit en fortifiant les penchants vicieux par l’honneur qu’on en tire.

344. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre VI. De ce qu’un Poète dramatique doit sçavoir pour être en état de travailler dans le nouveau genre. » pp. 142-158

Devenez le Peintre fidèle de la Nature ; défendez-vous de la ridicule honte de n’oser nous montrer ses infirmités, ses taches, ses désagrémens.

345. (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32

L’autre plus enjoué fronderait décemment les ridicules, et ferait l’amusement de ceux qui ont besoin de rire pour se distraire des occupations sérieuses auxquelles leur état les destine.

346. (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre premier. Origine des Spectacles. » pp. 1-14

Ce n’était qu’une espèce de danse de village au son de la flûte, et à la suite de la danse venait un histrion qui récitait des vers rudes et sans art, pleins de traits de raillerie lancés au hasard sur les spectateurs, selon qu’ils se montraient plus ou moins ridicules.

347. (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « De Paris ce 10. Mai 1666. » pp. 193-204

J’avoue que le Provincial a mieux choisi ses personnages, il les a cherchés dans les Couvents et dans la Sorbonne, il introduit sur la scène tantôt des Jacobins, tantôt des Docteurs, et toujours des Jésuites ; combien de rôles leur fait-il jouer, tantôt il amène un Jésuite bon homme, tantôt un Jésuite méchant, et toujours un Jésuite ridicule.

348. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. L’Arétin, le Tasse, l’Arioste. » pp. 38-79

Ses livres eurent cours dans la nouveauté ; personne aujourd’hui ne les lit : c’est un style boursoufflé, entortillé, affecté, hyperbolique, toujours monté sur des échasses par des exagérations ridicules ; précieux, il court après l’esprit ; stérile, il ne fait que rajeunir de vieilles pensées, & répérer les mêmes en tournant la phrase : on ne peut en soutenir la lecture fastidieuse. […] Après avoir amusé le public par des scènes ridicules, cette dispute académique est tombée dans l’oubli qu’elle méritoit ; & quelques années après, le Tasse étant venu à Florence avec la protection du Grand-Duc, l’Académie aussi courtisanne que vindicative, fit les plus grands honneurs à celui qu’elle avoit si fort insulté, La Jérusalem délivrée, si solemnellement décriée, fut réintégrée dans ses priviléges. […] Sont ce moins de sotises, la plupart grossières, scandaleuses, ridicules ?

349. (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43

Ce plaisir, je l’avoue, répugne à ma conscience, et si tout le monde faisait comme moi, le théâtre se fermerait bientôt ; mais lorsque la bienséance l’exige, lorsque des amis réclament ma complaisance pour les y conduire, je ne suis point assez ridicule pour m’y refuser. […] Comment peut-on soutenir, sans péché, des pièces, où la vertu et la piété sont toujours ridicules, la corruption toujours excusée et toujours plaisante, et la pudeur toujours offensée, ou toujours en danger d’être violée par les derniers attentats, par les expressions les plus impudentes, à qui l’on ne donne que les enveloppes les plus minces.

350. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. Aveux importans. » pp. 83-110

Moliere eût manqué son but s’il n’eut fait ressembler son imposteur aux hommes de bien ; on n’est hypocrite que pour avoir l’extérieur & l’apparence de la vertu qui cachent le vice, mais cette ressemblance tournée en ridicule, rend suspect le véritable homme de bien, & dégoûte de la vertu qui peut si aisément être suspecte ; quand ensuite Louis XIV la permit, il fit changer le nom de Tartuffe en celui d’Imposteur, parce que ce mot qui est de son invention est un de ces mots imitatifs qui peuvent s’appliquer au bien & au mal ; ce mot peint un homme doucereux & affecté, qui peut être bon ou mauvais, & qui fait une confusion dangereuse du vice & de la vertu. […] Hébreu, Grec, Latin, Allemand, on ne voit rien de si ridicule dans aucune langue ; on ne le connoît qu’en France, soit qu’on y croye les complimens sans conséquence, & un verbiage frivole qui semble tout dire, & ne dit rien comme ils le font en effet sur-tout en galanterie, soit que l’entousiasme pour les femmes y soit porté à l’excès & à une sorte d’adoration ; l’usage a consacré ces termes, ils sont devenus de style ; c’est le protocole de Cithère, platitude puérile, plus basse que respectueuse de se mettre à genoux devant les femmes, qui ne convient qu’envers Dieu & à un criminel qui demande grâce : cette attitude a un autre principe, c’est pour les contempler à son aise, & être à portée de prendre avec elle des licences ; les femmes sont communément assises, il faut se baisser pour les mieux voir, prendre & recevoir avec plus de facilité des libertés indécentes dont elles peuvent moins se débarrasser.

351. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Suite d’Anecdotes Ecclésiastiques. » pp. 106-132

Quel ridicule ! […] On a porté le ridicule jusqu’à défigurer les tableaux des saints fondateurs.

352. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE III. Réformation de l’Abbé de Blesplas. » pp. 55-81

Elle a beaucoup valu à l’Auteur, mais on ne la joue plus, & elle est devenue ridicule depuis qu’on a découvert que le prétendu Héros, Eustache de S. […] On en a senti le ridicule, on n’a plus poursuivi : Solventur risu tabula tu missus abibis.

353. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125

Quelle ridicule contradiction, leur dit-il ! […] Qu’on s’amuse à en faire un moment l’application détaillée, qu’on dise à Rome, un Consul, un Préteur, un Sénateur, etc., Comédien ; dans tous les pays du monde, un Ministre d’Etat, un Ambassadeur, un Gouverneur de province, Comédien ; qu’on dise parmi nous, un Général, un Colonel, un Capitaine, un Président, un Conseiller, un Avocat, un Notaire, etc., Comédien ; ces idées sont si disparates, les personnes et l’emploi sont si opposés l’un à l’autre, que ce seul langage révolte : la seule proposition serait une insulte et une folie, exciterait l’indignation, ou ferait rire par le ridicule ; ce serait allier le bon ordre et la dissolution, la sagesse et la folie, la considération et le mépris, la confiance du public et la friponnerie.

354. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IX. Sentiments de S. Cyprien et de quelques autres Pères. » pp. 175-201

Ils donnent des leçons du crime en le jouant, et par l’image conduisent à la réalité : « Docent adulteria dum singerat et simulatis erudiunt ad vera. » En voyant ces infamies représentées sans honte, et regardées avec plaisir, les jeunes gens apprennent ce qu’ils peuvent faire : « Cum hæc sine pudori fieri, et libenter spectari cernunt, admonentur virgines et juvenes quid facere possint. » Le feu de l’impureté, qui s’allume surtout par les regards, les embrase : « Inflammantur libidine quæ aspectu maximè concitatur. » Chacun, selon son sexe, se livre à tous les écarts de son imagination ; c’est l’approuver que d’en rire : « Probant dum rident. » On revient corrompu dans sa maison, et non seulement les enfants auxquels il est si funeste de donner la connaissance et le goût prématuré du mal, mais même les vieillards, dont les vices, sont des ridicules : « Corruptiores ad cubicula sua revertuntur. » Fuyez donc le théâtre pour vous garantir de l’impression du vice, pour conserver la paix de l’âme, pour éviter l’habitude de la volupté, qui vous éloigne de Dieu et de la pratique des bonnes œuvres : « Ne voluptatis consuetude deliniat et a Deo avertat. » Il fait (C. […] Il se moque de ceux qui font l’éloge des talents des Comédiens ; ce qu’il appelle absurde et ridicule, comme tant d’autres faux jugements dont il fait le détail : « Histriones laudans quod absurdum. » (L.

355. (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XX. Suite des prétendus talents du Comédien & de la Déclamation théatralle. » pp. 63-85

De la vivacité, une certaine volubilité de langue, un air familier, un goût d’intrigue, voilà où se réduisent les grands talents d’une soubrette : avec cela elle pourra être dans le particulier ennuyeuse & ridicule ; les actions qui détraquent la machine pourront ne lui pas causer la moindre émotion, ne lui pas faire tomber la navette des mains.

356. (1680) Entretien X. Sur la Comédie « Entretien X. sur la Comedie » pp. 363-380

Mais la preuve de ce que je dis se fortifie beaucoup, par la nature de plusieurs piéces de théatre, qui font aujourd’huy le plus agréable divertissement des auditeurs ; car souvent, ou elles sont toutes bouffonnes, ou elles peuvent passer pour impies, estant une chose trop connuë, qu’on en a veü, qui tournoient toute la dévotion, & la pieté en ridicule.

357. (1770) Des Spectacles [Code de la religion et des mœurs, II] « Titre XXVIII. Des Spectacles. » pp. 368-381

Ces spectacles mêmes devinrent des abus souvent fort ridicules.

358. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. De la Pastorale Dramatique. » pp. 59-77

Je vais montrer en peu de mots que je ne lui demande rien de ridicule & d’impossible.

359. (1705) Sermon contre la comédie et le bal « II. Point. » pp. 201-218

La gloire de reformer le monde était réservée à ce nouvel Evangile, et sans doute il a fait de grands progrès, et il est capable d’en faire encore de jour en jour de plus grands, il a corrigé quelque affectation de langage, quelques façons bizarres et grotesque de s’habiller, en un mot les manières qui ont quelque chose de choquant et de ridicule, mais pour des vices réels, des dérèglements effectifs, ha !

360. (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre XI. Du Balet. » pp. 209-318

Soit que jusqu’icy les Loix du Balet n’ayent pas esté publiées, ou que le Ciel & sa bonne fortune l’ayent preservé des chicaneuses & ridicules inquietudes des Maistres-ez-Ars, il n’est tenu que de plaire aux yeux, de leur fournir des objets agreables & dont l’apparence & le dehorsimpriment dans l’esprit de fortes & de belles images. […] S’il est de difficile composition, s’il est sombre, s’il ne peut estre rendu sensible & capable de toutes les beautez du Balet, il faut le reietter : par exemple, il est malaisé de bien exprimer dans un Balet une naissance, à moins de hazarder des accessoires ridicules & méseãs : une victoire qui n’a que des circonstances serieuses, & qui ne craint point de hôteux detours, n’est point non-plus une matiere propre pour le Balet, parce que la peinture de son action est impossible, & que ce n’est qu’un corps ideal, un resultat imaginaire du combat, & de la vaillance du Vainqueur. […] Ces belles qualitez passent pour des deffauts, pour des talens estrangers, & pour des objets ridicules dans un homme de condition. […] Si c’est une boufonnerie, il faut que le ridicule en soit hõneste, spirituel, ou sot-affecté.

361. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VII. Sentimens des Prédicateurs. » pp. 168-180

La mortification, la simplicité, la pauvreté, y sont des ridicules ; le goût des choses saintes, le recueillement, la présence de Dieu, le soin des petites choses, la vigilance sur soi-même, l’emploi du temps, l’exactitude à ses devoirs, le rapport de toutes les œuvres à Dieu, en un mot, le corps entier de la piété chrétienne, quelle chimère !

362. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VIII. Sentimens de S. Chrysostome. » pp. 181-192

Quelle passion, dit-il, infame & ridicule !

363. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IX. Sentiments de S. Ambroise. » pp. 200-211

Avec ces sentiments, on voit bien qu’il ne pouvait pas être partisan du théâtre, où l’on enseigne une morale toute opposée, où le célibat est un ridicule, le nom de virginité inconnu, où l’amour est le bien suprême, l’union avec ce qu’on aime, le comble du bonheur, où tout ce qui peut inspirer la volupté est étalé avec toutes ses grâces, beauté, nudité, danse, chant, parures, attitudes, vers, sentiments, intrigue, etc.

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