Ce sont de vieux magots mutilés, qu’on ne regarde par curiosité que pour avoir pitié de leurs artistes. […] Mais la suite de ces événements ne nous regarde plus.
Lors même qu'un peu plus sage, il ne l'avale pas, il le regarde, le flaire, le savoure, en exprime le suc, et se flatte de n'en pas prendre le venin et de n'en être pas incommodé. […] François de Sales emploie cette comparaison : C'est encore le goût d'un Danseur de corde qui s'amuse à regarder l'abîme sur lequel il est suspendu ; qui voudrait être son apologiste et garantir sa vie ?
La Poésie dramatique ne s’occupe qu’à les farder, & qu’à accoutumer l’esprit à les regarder sans horreur … …. […] Rulfo a regardé comme un ordre109 cette exhortation. […] Le Chapitre XI du premier tome regarde le Théatre, considéré dans ses rapports avec les mœurs des Grands & avec les mœurs générales. […] Et pour opérer ce changement, il propose la réformation du Théatre, qu’il regarde comme un moyen politique à conserver. […] Quelque peu séveres qu’ils soient, ils ont été regardés comme des spéculations vaines & impraticables.
Toutes ces impositions sont affermées, la plupart par une ferme générale, quelques-unes par une ferme particulière ; l’Impératrice Reine y a fait divers arrangemens qui ne nous regardent pas. […] Qu’on ne dise pas que cette sévérité ne regarde que les femmes publiques, & non les Comédiens ; toutes les loix, comme nous l’avons démontré au liv. 11, mettent sur la même ligne ces deux sortes de personnes, & la loi du Code sous le titre de Spectaculis scenicis & lenonibus, parle nommément des Comédiens : his quoque abstineant thimelici ; & dans le fond où est la différence ? […] Ce fut une scène bien nouvelle pour les Acteurs & les spectateurs ; tout fut arrêté pour les regarder jusqu’à la fin de leurs exercices.
En voyant Jupiter amoureux, se livrant à ses désirs, il est constant que son adorateur doit regarder l’impureté comme une vertu . […] En eût-il d’abord quelque peine, en répétant ces pieux exercices, il se familiarisera à la longue avec la méchanceté, & en viendra jusqu’à regarder les plus mauvaises actions, non-seulement comme bonnes & justes, mais comme grandes, nobles, divines . […] Si ces opulens ne suppléent par des exercices convenables aux fatigues du corps dont ils sont dispensés ; si au lieu de vaquer à des fonctions honnêtes, ils regardent le travail avec mépris ; s’ils treuvent qu’il est beau de s’ensevelir dans l’oisiveté & la mollesse, il est impossible que les passions n’exercent tous leurs caprices, & que l’esprit qui conservent toute son activité, ne produise mille monstres.
L’historiographe Marmontel, quoique bien payé, ne s’occupe gueres de la composition de son histoire : il est vrai qu’il a pour lui l’exemple de deux grands hommes, Boileau & Racine, historiographes comme lui, qui comme lui n’ont pas enrichi les fastes de la nation ; à moins qu’on ne regarde le théatre comme le grand objet de nos annales. […] On met dans la confidence un foule de personnes, un coup de baguette fait trouver dans l’appartement de madame des robes, des fleurs, des odeurs ; cette dame est transportée dans les airs à sa maison de campagne, couchée dans un bosquet de son jardin, sans s’en appercevoir ; son sylphe lui parle, lui chante derriere la tapisserie, derriere une charmille, cette femme, jeune folle spirituelle, est comme furieuse de voir son sylphe, prend tout cela pour un rêve, n’a pas la curiosité d’aller regarder derriere la tapisserie & la charmille ; ne connoît pas la voix de son mari qui l’aime à la folie, & ne néglige rien pour se faire aimer, &c. […] Tout homme monté sur un théatre est élevé sur des échasses d’où il regarde de haut en bas comme des pygmées tous les humains qui l’admirent : sa tête est nécessairement une girouëtte placée à la pointe d’un clocher, qui tous les vents agitent.
Cette affaire ne me regarde pas, il est vrai, mais je vois les intérêts de l’Art, & il est permis, je pense, à tout galant homme, surtout à un Amateur de Spectacles, de les soutenir, & même de les défendre envers & contre tous, & l’on ne peut que lui en savoir bon gré.
Corneille est admirable, parce qu’il n’étoit environné que de très-mauvais modeles, & ces mauvais modeles étoient estimés & récompensés ; il eût à combattre sur-tout ses rivaux, l’Academie & le Cardinal de Richelieu ; la quantité de piéces indignes de lui, qu’il fit quelques années après, n’empêcha pas de le regarder comme un grand homme, c’est le privilege du genie de faire impunément de grandes fautes, il s’étoit formé tout seul : Voilà son vrai merite, car les trois quart de ses poëmes son médiocres, & la moitié au-dessous du médiocre ; mais il a des traits sublimes, & ne les doit qu’à lui-même.
Il est presque aussi grand que celui des Acteurs, qui ne paraîtraient pas en public, s’ils n’y étaient attirés par ceux qui les entendent, et dont ils regardent plus l’argent, que tout autre chose.
Théâtres, écoles publiques d’irréligion, où, si l’on ne regarde pas l’existence de Dieu (P. 14.) […] Ils auront beau regarder les Rois de la Terre comme les dépositaires de l’autorité de Dieu même, comme des Divinités sensibles, ils enseigneront en vain qu’il est donc nécessaire de s’y soumettre non seulement par la crainte du châtiment, mais aussi par un devoir de conscience. doctrine seule véritable & qui affermit le bonheur des Rois & des Peuples . […] Et vous, Bourgeois, vous perdrez l’habitude de regarder avec mépris des hommes doublement respectables… Contenus d’abord par des Réglemens sages, protégés ensuite & même considérés dès qu’ils en seront dignes, enfin absolument placés sur la même ligne que les autres Citoyens , nos Villes auront bientôt l’avantage de posséder ce qu’on croit si rare, & qu’il ne l’est que par notre faute : une troupe de Comédiens estimables… Que sçai-je si ne craignant plus de vous deshonorer parmi nous, en vous livrant au théâtre , il ne vous prendra pas à tous envie d’y monter, d’y endosser un habit à la Romaine, (Encyclopédie, au mot Genève,) & d’y cultiver non seulement sans honte, mais même avec estime, le talent si agréable & si peu commun de nous divertir ? […] Je n’ai plus qu’un mot à vous dire, Nations entieres : Quand vous lisez en tête du cinquiéme volume de l’Encyclopédie dans l’éloge de M. de Montesquieu qu’il renonça à une premiere Place de Magistrature, parce qu’il sentoit qu’il y avoit des objets plus dignes d’occuper ses talens , ne croyez pas que le Panégyriste ait voulu parler ici à la louange de son héros : il n’est personne d’entre nous qui ne regarde cette pensée du Démocrite François comme une tache pour sa mémoire ; sans doute il a voulu qu’elle demeurât toujours cachée ; peut-être même ne l’a-t-il jamais communiquée ; mais il n’en a pas moins fallu la mettre au grand jour, & pour la mettre à la portée du plus grand nombre, qui n’est pas celui des Souscripteurs de l’Encyclopédie, notre Mercure de Nov. 1755 lui a donné place parmi ses galanteries.
Or tous ces témoins s’accordent à déposer contre la Comédie, tous la regardent comme une peste, au moins pour la jeunesse, como peste por lo menos de la juventud.
N’est-on pas donc obligé de regarder au moins la comedie, comme un divertissement dangereux, puis qu’ils ont parlé de cette sorte de spectacle, comme d’une chose, capable de corrompre les mœurs les plus innocentes ?
Or tous ces témoins s’accordent à déposer contre la Comédie, tous la regardent comme une peste, au moins pour la jeunesse, como peste por le menos de la juventud .
Il est donc naturel de regarder les Italiens comme les inventeurs de l’Opéra-Bouffon, puisqu’il était dans son principe l’assemblage de plusieurs couplets ou vaudevilles.
Il est désespéré de voir qu’un genre qu’il regardait comme devant le combler d’honneur soit presque méprisable dans l’esprit de certaines gens.
Ce mot est composé d’Amphi (autour), & de Théatron (Théâtre), qui vient de Theáomaj (regarder, contempler) : ainsi Amphithéâtre signifie proprement un lieu, d’où les Spectateurs rangés circulairement, voyent également bien : aussi les Latins le nommaient-ils Visorium.
Combien de gens ont lu sa Lettre, qui ne l’eussent pas regardée, si le Port-Royal ne l’eût adoptée, si ces Messieurs ne l’eussent distribuée avec les mêmes éloges qu’un de leurs Ecrits.
Appellé par les princes, & confiné dans une prison ; honoré dans toutes les cours d’Italie, vivant & mourant dans la misere ; d’une famille illustre, & fugitif de ville en ville, de province en province, sans savoir où se réfugier la moitié de sa vie ; couronné comme un grand poëte, & enfermé dans les petites-maisons, pour y être traité comme un insensé ; vivant en grand seigneur, & s’habillant en berger, pour mener la vie pastorale ; comblé d’éloge, & accablé de satyres ; regardé comme le premier poëte d’Italie, & solemnellement condamné par le jugement & les écrits de la plus célebre Académie, (de la Crusca) qui, dans le fonds, n’avoit pas tort, quoique sa conduite fut indécente dans la forme ; célébré, chanté de toute part, errant, inconnu, couvert de haillons, changeant de nom, d’habit & de gîte, par des chemins détournés, exposé à tout, souffrant tout ; ne se sauvant que par des mensonges ; philosophe modéré, se possédant en citoyen, & donnant un soufflet, se battant en duël dans sa colere ; pratiquant des exercices de piété, & traitée d’athée, de philosophe platonicien, & y donnant lieu par ses ouvrages ; faisant des vœux à la Ste. […] Mais, sans les regarder comme des nouveautés, on pouvoit bien dire : Où a-t-on pu trouver tant de folies ? […] Le fils le regarda & l’écouta avec beaucoup d’attention, sans rien répondre.
Je ne doute point que nos Poètes ne nomment ce discours de Landaus, une harangue insipide, et que du haut de leur esprit ils n’en regardent l’Auteur en pitié. […] » Hermione reproche à Andromaque que son mari ne la regarde pas avec de yeux indifférents ;Androm. p. 303. […] Aussi Saint Justin le Martyr et quelques autres Pères ont-ils regardé Socrate comme un homme d’une créance non païenne, et ont cru qu’il avait souffert pour l’unité d’un Dieu.
Tels sont les romans, les pièces de théatre, les ouvrages de galanterie, on y admire la finesse des pensées, la délicatesse de l’expression, la variété des images, regardez-y de près ; le cœur y est bien plus touché que l’esprit, le plaisir vient sur-tout du vice qu’on y a délicatement répandu, qui flatte une imagination gâtée ; on ne sauroit soutenir la vue d’un objet grossier, montré à découvert, mais nous sommes bien aise qu’on nous le fasse entrevoir à travers un voile délié, qui le laisse voir ànu à l’imagination, qui s’y applique avec un plaisir extrême, & lève aussi-tôt le voile, & il ne faut pas un grand effort pour le lever au théatre où il est des plus transparens. […] La Princesse Venus inventrice d’un sentiment si délicat qu’elle avoit nommé amour, en fut regardée comme la mère aussi bien que des grâces, ayant été aidée par les plus belles femmes, cet engagement fut trouvé si beau qu’on en fit un Dieu, & de sa mère une Déesse, la force en est invincible (c’est de la bonne morale) ; on peut donc être amoureux sans être si vicieux, cela veut dire en bon françois qu’on voudroit bien que l’impureté ne fût pas un vice, qu’on tâche de colorer le mouvement de passions pour en diminuer la honte que ce langage de vertu, ce vernis de chasteté est une gaze pour en cacher l’horreur & émousser les remords.
Il est vrai que dans les siecles gothiques on les voyoit assister aux tournois, y regarder rompre les lances, blesser & tuer les Chevaliers les animer des yeux, de la voix & du geste, & distribuer le prix au vainqueur. […] On ne s’est pas même renfermé dans ces bornes, les Actrices ont communiqué leurs privilèges ; toutes les débutantes, les postulantes, les aspirantes, les expectantes, obtiennent de la troupe un brevet d’expectative pour la premiere place vacante, & dès-lors regardées comme membres du corps où elles disent vouloir entrer, elles jouissent de la même impunité que les autres.
La voilà qui regarde par les coulisses : Per cancellos prospexi. 7. 5. […] Une preuve évidente que le théatre & tout ce qui le compose, déclamation, danse, geste, chant, parure, &c. excitent les passions les plus vives, & plus même que la beauté, c’est qu’on voit entretenues avec profusion, aimées avec fureur, des Actrices, des danseuses, des chanteuses d’une beauté très-médiocre, d’un esprit très-mince, souvent laides & sottes, qu’on ne daigneroit pas regarder, à qui le théatre prête des charmes.
Ganik regardé à même temps de profil par deux personnes à droit & à gauche, paroîtroit à l’un accablé de tristesse, à l’autre plein de joie. Le portrait le rend parfaitement, de quelque côté qu’on le regarde.
On ne peut regarder comme purement cérémoniaire, & sujette au changement, une loi conçue en ces termes ; on ne parle pas autrement des plus grands crimes. […] Pendant que les Masques danseront ou entretiendront les Damoiselles, est étroitement défendu aux Maris & amis n’empêcher les Masques en leur parler, les écouter, en approcher, regarder, ou faire signe aux Damoiselles de se retirer, encore moins entreprendre de les emmener.
Enfin, l’esprit philosophique qui régne dans ce siécle, regarde ces pressentimens, ces douces émotions que nos Poëtes mettent dans le cœur de deux personnages, unis sans le sçavoir, par les liens du sang, comme un brillant préjugé, une antique chimère.
N’est-on pas donc obligé de regarder au moins la comédie, comme un divertissement dangereux, puis qu’ils ont parlé de cette sorte de spectacle, comme d’une chose, capable de corrompre les mœurs les plus innocentes ?
J'ai donc cru que cela me regardait, et comme je n’avais encore rien mis au jour, je me suis imaginé que c’était commencer bien glorieusement que de soutenir une cause où le bon droit était tout entier.
Pour l’éclaircissement de cette vérité, et de plusieurs autres de pareille nature, il faut se souvenir qu’il y a deux sortes de bontés dans les choses d’ici-bas ; l’une qu’on appelle physique ou naturelle, parce qu’elle regarde la nature de chaque chose ; l’autre morale, qui concerne les mœurs et les actions des hommes. […] Si nous prenons le divertissement, comme un petit secours contre notre faiblesse, nous n’en userons jamais que dans les termes d’une juste modération : Nous y regarderons plus la nécessité que le plaisir, et pour une heure que nous y donnerons, nous emploierons un jour pour le travail. […] Chaque animal a de l’inclination pour tous ceux de son espèce ; tous se regardent comme des membres détachés d’un même corps, qui tâchent de se réunir ; il n’est que les bêtes farouches, et les oiseaux de rapine qui ne se joignent point. […] Cet esprit les enfle si fort de leur propre estime, qu’ils ne regardent les autres que comme des aveugles, ou des stupides qui se laissent mener sans résistance ; il n’y a qu’eux dans leur pensée qui sachent où ils vont, plus on leur crie qu’ils s’égarent, plus ils se hâtent d’avancer, et quoiqu’on les rappelle au bon chemin, ils ne daignent pas seulement tourner la tête. […] Les défenses n’ont pas été portées seulement contre les joueurs, à qui il n’est point permis de jouer ni en public, ni en particulier ; mais encore contre tous les autres qui s’arrêteraient pour les regarder ; on leur fait un crime d’y assister seulement des yeux.
Regardez la plupart des jeunes gens qui entrent dans ces lieux : haves, secs & décharnés, ils ressemblent à des Spectres ambulans. […] Combien de ces Grisettes ne font souvent qu’un saut de ces Magasins de modesJe ne suis pas assez injuste pour les regarder tous du même œil. […] Ce jeune & vertueux Monarque, qui signale chaque jour de son auguste Empire, par de nouveaux bienfaits, est pour nous un bon pere ; il regarde & chérit indistinctement tous ses Sujets, comme ses propres enfans. […] Avec de l’application, le goût du travail & de l’étude serait insensiblement devenu un besoin pour eux, & ce que les politiques doivent regarder comme un des points les plus avantageux de cette étude, soit des Arts, soit des Sciences et des Lettres, c’est qu’elle cause des distractions qui affaiblissent necessairement les penchants vicieux. […] Je ne suis pas assez injuste pour les regarder tous du même œil.
Mais il soutient que tout cela ne regarde que les excès de la Comédie ancienne, et qu’ainsi on n’en peut tirer de preuves contre celle d’aujourd’hui. […] « Si les jeux et les courses du Cirque vous plaisent, dit-il aux Chrétiens, voyez courir les siècles, et comptez les années à mesure qu’elles passent ; et pour but de la course, regardez la fin de toutes choses ; défendez fortement les sociétés de l’Eglise, éveillez-vous au signal du Seigneur, animez-vous au son de la trompette de l’Ange, et mettez votre gloire à remporter la palme du Martyr. […] Le premier est au chapitre 23, de la première Partie, dont voici les paroles : « Les jeux, les bals, les festins, les pompes, les Comédies en leur substance, ne sont nullement choses mauvaises, ainsi indifférentes, pouvant être bien ou mal exercées : Toujours néanmoins ces choses-là sont dangereuses ; et de s’y affectionner, cela est encore plus dangereux, etc. » Le second est au chapitre 23, de la troisième Partie, où saint François de Sales s’explique à peu prés de la même manière : « Les bals et danses, dit-il, sont choses indifférentes de leur nature ; mais selon l’ordinaire façon avec laquelle cet exercice se fait, il est fort penchant et incliné au côté du mal, et par conséquent plein de danger et de péril, etc. » De ces paroles de saint François de Sales, et de quelques autres qu’il ajoute encore, les Partisans de la Comédie infèrent que ce Saint a regardé la Comédie comme une chose indifférente de sa nature, qu’il n’en a pas blâmé l’usage, pourvu qu’elle n’eût rien de déshonnête, et qu’il ne l’a pas même interdit à sa Philothée, pourvu qu’elle n’y mît pas son affection. […] » Il a regardé les Spectacles avec leur appareil, comme choses si dangereuses au salut et à la perfection chrétienne, que dans les Règles qu’il donne aux Filles de la Visitation, il retranche de leur Service d’Eglise tout chant, toute musique, tout instrument, et tout ce qui peut ressentir les Spectacles en dévotion. […] Dans ce même Concile Provincial, il y a une défense particulière aux Ecclésiastiques d’assister aux Comédies : et la raison de cette défense peut aussi regarder tous les Chrétiens : « C’est de crainte, dit le Concile, que leurs yeux et leurs oreilles qui sont consacrées au Service divin, ne soient souillées par des actions et des paroles malhonnêtes et badines. » Tous les Chrétiens ne doivent-ils pas appréhender la même chose ?
Celles que nous avons à reprendre ne regardent que l’exposition.