/ 382
274. (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien troisieme. Le danger des Bals & Comedies découvert par l’Auteur des Sermons sur tous les sujets de la morale Chrétienne de la Compagnie de Jesus. » pp. 26-56

Comme la passion qu’on a pour ces sortes de choses est naturelle & violente, on s’efforce aussi de la justifier par toutes les raisons, que l’amour propre ne manque pas de suggerer, jusque-là qu’à moins de rendre absolument criminels tous les divertissemens, de quelque nature qu’ils puissent être, on croira toûjours que ceux-cy doivent étre comptez entre les plus innocens. […] Or ces spectacles ausquels vous courez, sont de cette nature, eû égard à vôtre âge, & à vôtre naturel susceptibles des passions les plus dangereuses ; vous commettez donc un peché mortel.

275. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VI. Suite de l’infamie civile. » pp. 126-152

Ces lois, faites pour tous les états, ont une application naturelle aux Comédiens, soit par rapport à leur état et à leur personne, puisque étant dans la dernière classe, ils n’ont droit à aucune prérogative, et doivent être habillés de la manière la plus simple ; soit par l’abus qu’ils en font et qu’ils en font faire, personne ne porte plus loin les excès du luxe des habits, et par le goût et l’exemple rien n’est plus contagieux dans le public. […]  ; mais leurs enchantements sont plus naturels, au vermillon près.

276. (1665) Réponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière « Chapitre » pp. 3-32

Et puisqu’il nous dit qu’il voudrait que tout le monde fût heureux, ne se contrarierait-il point en nous laissant une pente si naturelle pour le mal, s’il ne nous réservait une miséricorde plus grande que notre esprit n’est faible et léger ?

277. (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre V. De l'impudence des Jeux Scéniques. » pp. 104-134

aventures de leurs Dieux ; quelques vieilles Fables, ou quelques Moralités, et le faisaient avec tant d'art, que leurs actions, leurs postures et leurs gestes expliquaient comme au naturel le sens des paroles.

278. (1705) Sermon contre la comédie et le bal « II. Point. » pp. 201-218

Pour ceux qui ont un besoin réel et effectif de quelque divertissement, qu’ils en cherchent de convenables à la profession Chrétienne et à leur état particulier, car comme le besoin que nous avons de nourriture pour réparer ce que la chaleur naturelle consume et ce qui dépérit à tout moment, ne nous donne pas droit d’user de quelque aliment qui aurait des qualités malignes, et qui ne manquerait pas d’altérer nôtre tempérament, parce qu’il produirait un effet contraire à la fin que nous nous proposons, aussi la nécessité prétendue de se divertir n’autorisera jamais ces pernicieux passe-temps qui causent plus de ravages dans une âme, qu’une viande empoisonnée dans un corps, divertissez-vous à la bonne heure, mais comme des Saints, vous regardant en la présence de Dieu, lui offrant vos recréations, et les rapportant à sa gloire.

279. (1833) Discours sur les spectacles « [Discours sur les spectacles] » pp. 3-16

« Au XVIIe siècle, un homme s’est rencontré qui, par l’admirable sagacité d’un esprit toujours plaisant, toujours naturel, toujours varié, toujours utile, a banni du sein de la nation française et l’esprit faux, et le jargon, et l’équivoque, et les pointes, et les jalousies folles, et l’amour honteux des vieillards, et la haine de l’humanité, et la coquetterie, et la médisance, et la pruderie, et la fatuité, et la basse avarice, et l’esprit de chicane, et la frivolité des magistrats, et la petitesse qui fait aspirer à paraître plus grand qu’on n’est, et l’empirisme ignorant des médecins, et la risible imposture des faux dévots ; » eh bien ?

280. (1777) Des Spectacles « Des Spectacles. » pp. 75-92

pourquoi passer une partie de la vie où l’on aurait horreur de mourir, et un sentiment si naturel n’est-il pas un puissant préjugé contre la prétendue justification du théâtre profane ?

281. (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIV. La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. » pp. 118-132

« Pour bien comprendre ce que nous venons d’avancer, il ne faut que considérer quelles impressions font sur l’âme les images les moins animées par elles-mêmes, et quel est le sentiment naturel qui accompagne la lecture d’un événement profane, la vue d’une peinture immodeste ou d’une statue indécente : si ces objets, tout inanimés qu’ils sont, se retracent naturellement à l’esprit, si on ne peut même en sentir toute la beauté et toute la force sans entrer dans la pensée de l’auteur ou dans l’idée du peintre, quelle impression ne font pas les spectacles, où ce ne sont pas des personnages morts ou des figures muettes qui agissent, mais des personnages animés, qui parlent aux oreilles, qui, trouvant dans les cœurs une sensibilité qui répond aux mouvements qu’ils ont tâché d’y produire, jettent toute une assemblée dans la langueur et la font brûler des flammes les plus impures !

282. (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16

Il était d’autant plus naturel de vous choisir pour arbitre, que vous avec concouru avec efficacité aux travaux apostoliques de M. l’abbé Desmares, et que vous devez savoir faire, beaucoup mieux qu’un autre, l’application des principes qu’il nous a enseignés.

283. (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVIII. Prétention des Comédiens au titre d’homme à talens, mal fondée. » pp. 19-44

D’ailleurs ce démon dominant, qui nous entraîne malgré nous, aux choses qui sont du ressort de nos talens naturels, mais cachés, ne produit de grands hommes que quand il engage à des grandes entreprises.

284. (1698) Théologie du cœur et de l’esprit « Théologie du cœur et de l’esprit » pp. 252-267

Si nous avions l’idée de l’amour dans sa naturelle difformité, nous ne pourrions en souffrir la laideur.

285. (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45

Du moment que vous admettez une seule partie de l’Ordre public où l’opinion du Magistrat fait la loi, vous violez le droit naturel, & le despotisme est en vigueur. […] Si les intérêts particuliers s’anéantissent devant l’intérêt public, si l’on fait aux préjugés cette guerre ardente & vigoureuse, digne du Peuple qui s’assemble, & du siècle qui voit s’opérer une aussi grande révolution, alors le nom de François deviendra le plus beau nom qu’un Citoyen puisse porter ; alors nous verrons s’élever des vertus véritables ; alors le génie, sans cesse avili par le despotisme, reprendra sa fierté naturelle.

286. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VIII. Anecdotes illustres du Théatre. » pp. 186-214

Il est Pantomime, il fait bien les Lazzis, son jeu est naturel & vrai. […] Henri de Transtamare, son frere naturel, qui lui avoit échapé, profita de ces dispositions, fit soulever les peuples, se mit à leur tête, & le détrona ; Pierre vint en Guyenne, où les Anglois regnoient, ils lui fournirent des troupes, & le rétablirent dans ses Etats.

287. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE IV. Apologie des Dames. » pp. 119-155

La force des caractères, la beauté, la nouveauté des situations, l’énergie et l’élégance du style, le naturel des pensées, tout s’y trouve avec l’exactitude peu commune aux Auteurs de sa Patrie, de s’être renfermée dans les règles des unités. […] C’est alors que vous changeriez d’avis, et que vous seriez forcé de reconnaître ce que l’éducation peut ajouter au mérite naturel des Dames.

288. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE I. Du sombre pathétique. » pp. 4-32

ne connaissaient-ils que la loi et les vertus naturelles ? […] Il n'y a de vrai que la loi naturelle et le théisme.

289. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE III. Est-il à propos que les jeunes gens aillent à la Comédie ? » pp. 55-83

La vertu y est plus attaquée : des charmes naturels, une douceur engageante, le soin continuel de plaire, attirent un essaim d'adorateurs, qui tantôt surprennent dans leurs pièges, tantôt abusent de la facilité dans leurs entreprises. […] En exerçant mon ministère, qui combat toutes les passions, je ne puis me défendre de la vaine gloire, surtout en parlant devant le Roi ; comment des enfants se préserveront-ils d'une vanité si naturelle ?

290. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Suite d’Elisabeth d’Angleterre. » pp. 33-82

Jean d’Autriche, fils naturel de Charles-Quint, frère de Philippe : c’étoit un homme bien supérieur à Don Carlos, il avoit de grands talens, des victoires mémorables, une réputation brillante, il n’avoit pas un grand voyage à faire ; il étoit Gouverneur des Pays-Bas, & joignant son gouvernement à la Couronne Britannique, on eût fait une belle souveraineté. […] Cette raison auroit suffi pour la décision de toutes les poursuites ; mais elle n’en convenoit pas, & quelle femme convient de ses défauts naturels ? […] On ne comprend pas que des Philosophes qui abhorrent l’inquisition & prêchent par-tout la tolérance, qui font un crime de la fermeté à maintenir la Religion, élèvent jusqu’au ciel une femme qui toute sa vie a persécuté les Catholiques avec fureur ; tout ce qui ne voulut pas se soumettre à l’Eglise Anglicane fut déponillé, chassé, tourmenté, mis à mort jusqu’à violer le droit naturel & le droit des gens ; elle maltraita, fit emprisonner, accuser & comparoître en justice l’Ambassadeur d’Espagne, parce qu’il étoit Evêque, & disoit la messe chez lui.

291. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Henri IV. » pp. 121-168

Sans approuver ce tableau de Calot, du moins je vois une différence entre ces deux pieces : dans l’une, il est inconnu, déguisé, réfugié par hasard chez un paysan, après s’être égaré, il est naturel qu’il se familiarise avec ses hôtes : mais que, dans un jour de bataille, au milieu de ses guerriers, il s’occupe des puérilités d’une galanterie, chante des ariettes avec ses généraux, & fasse faire des rondes à la fin du repas, ne diroit-on pas qu’on a voulu dégrader & faire mépriser ce grand Roi, le travestissant en Tabarin, ou que l’auteur n’a aucune idées des bienséances ? […] Un courier, un espion arrêté, des papiers surpris, des secrets découverts, ce stratagême de se servir de la personne, de la main, de la lettre de créance, pour pénétrer, pour tromper l’ennemi, sont si communs dans l’histoire & si naturels, que le moins adroit s’en serviroit. […] Il étoit d’un naturel fort doux, d’un accès facile, d’une familiarité engageante.

292. (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  LETTRE A M. RACINE, Sur le Théatre en général, & sur les Tragédies de son Père en particulier. » pp. 1-75

Si ce que j’ai avancé des Pieces qu’on représente, & du méchant effet qu’elles produisent, est exactement conforme à la vérité ; par une suite naturelle, les principes que j’ai établis sont vrais. […] De toutes les passions dont nous sommes susceptibles, l’amour est la plus naturelle & la plus commune à tous les hommes. […] Mais si les sentimens de Pyrrhus sont naturels & convenables à sa situation, je ne saurois approuver son caractère.

293. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Suite du Clergé Comédien, » pp. 52-67

N’eût-il que son apostasie, jamais le vrai sage ne regardera comme un grand homme un parjure, un lâche, un rébelle à son Dieu, qui abandonne la vraie religion pour adorer des faux dieux, contre les lumieres les plus évidentes de la raison naturelle.

294. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre prémier. Le sujet. » pp. 160-182

La Comédie & la Tragédie souffrent un sujet rempli d’incidens ; elles éxigent même qu’on ait toujours soin d’en faire naître plusieurs les uns des autres ; elles ne veulent pas néanmoins des faits incroyables ou compliqués, comme ceux de l’Etourdi & d’Héraclius, mais de simples & de naturels.

295. (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « LA PREMIÈRE ATTEINTE CONTRE CEUX QUI ACCUSENT LES COMÉDIES » pp. 1-24

Et parce que l’enuie d’ouïr, de savoir et d’apprendre est naturelle en nous, et que notre âme est comme un livre blanc où nous pouvons graver ce qui la doit remplir, ou une terre capable de recevoir l’ivraie et le bon blé ; elle nous choisit des propos pour faire germer des fruits et des fleurs qui puissent apporter une moisson digne de sa culture et de notre devoir ; pour ne faire de notre esprit un tableau d’horreur et de honte, et un champ de broussailles et d’épines, au lieu d’amaranthe, d’œillets, et de lys.

296. (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 4. SIÈCLE. » pp. 120-146

Lors donc qu'à cette inclination naturelle nous ajoutons encore l'art et l'étude, comment ne tomberons nous pas dans l'Enfer, puis que nous nous hâtons de nous y jeter ?

297. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VII. De la frivolité et de la familiarité. » pp. 150-162

On peut être familier sans burlesque et même sérieusement : le naturel et la naïveté même qui rend les sentiments sans art et sans détour, peuvent être respectueux.

298. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I.  » pp. 3-35

Ceux de Soubrette, sur-tout d’Amoureuse, de Paysanne, lui étoient naturels. […] L’allusion naturelle de ce mot qui est peu d’usage n’est pas favorable au héros du Greffier Pavanne.

299. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suite de Mêlanges. » pp. 84-120

Ce seroit le comble de la perfection, si la perruque pouvoit s’appliquer si immédiatement à la peau, & s’y attacher si étroitement, qu’elle y parût incorporée & en naître, comme les cheveux naturels. […] Il faut donc pour lui ressembler que la pommade attractive prenne ces nuances, cette finesse, ce poli, si fort diversifiés, sans quoi elle formera un cercle autour du visage, qui tranchera avec la couleur naturelle : à moins qu’on ne prenne ce cercle pour une couronne.

300. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239

ils n’attaquent en toute autre rencontre que quelque défaut extérieur ou purement naturel et borné à un certain nombre de personnes : mais ils ne connaissent ici ni règles ni bornes. […] Quelle bévue de ne représenter les choses nullement au naturel ?

301. (1759) Lettre d’un ancien officier de la reine à tous les François sur les spectacles. Avec un Postcriptum à toutes les Nations pp. 3-84

) la Religion naturelle, le Matérialisme, le Déisme ou l’Athéisme ! […] le besoin pour la mesure du sentiment , & par une suite toute naturelle, des amis de plaisirs, d’argent, d’intrigues d’esprit & de malheurs , qu’à nous inspirer la haine & la vengeance au mépris des loix divines & humaines ? […] Pour nous, pauvres François, tout enveloppés que nous sommes dans la matière, la jouissance de nos plaisirs théatraux, jointe à votre ascendant naturel, Dames Françoises, ne servira jamais qu’à faire de nous des heureux à bonne fortune, que vous croirez vous-mêmes avoir un droit acquis sur la plus belle portion de votre appanage.

302. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IX. Suite de la Rosiere. » pp. 213-230

S’il reste quelqu’ombre de Religion, ce n’est guères que la Religion naturelle, on en veut faire des Philosophes & non des Chrétiens, encore moins des Catholiques : un tel enseignement vérifie déjà la prédiction de J.

303. (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82

Tertio, il est certain et indubitable par jugement naturel que fiction d’une chose n’est possible sans préalable intelligence de la vérité.

304. (1671) Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis « letter » pp. 472-482

Je me contenterais de vous faire remarquer qu’il ne proscrit pas ces Spectacles du Christianisme, seulement comme ayant leur source dans idolâtrie, qui faisait de ces actions profanes des sacrifices à leurs fausses divinités : où comme s’il ne s’y passait rien qui ne fût contraire à l’humanité naturelle, à l’homme qui abhorre le sang : Mais comme des pompes du Diable, auxquelles nous avons renoncé entrant dans l’Église par le Baptême, et devenant membres de Jésus-Christ, qui a fait profession au nom de tous ses enfants de n’être point du monde : et comme des nourrices des mauvais désirs qui sont les sources fécondes de tous les péchés.

/ 382