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127. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Cinquième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 33-39

Venez donc ce soir ; j’y consens. […] Monsieur de Longepierre vint hier-soir : j’étais seule : il a trouvé mauvais que monsieur D’Alzan soit rentré tard ; il n’a pas assez pris de ménagemens pour le lui faire sentir ; il l’aura peut-être affligé, peut-être aigri ; en quittant son oncle, monsieur D’Alzan était triste ; j’ai cru l’entendre soupirer.

128. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VII. De l’inconséquence de quelques prêtres ignorants envers les Comédiens, et de leur fanatisme mis en opposition avec l’autorité du pape et avec la conduite éclairée du haut clergé et des ecclésiastiques sensés en France. » pp. 134-140

C’est le cardinal de Richelieu, ce célèbre ministre d’état, prince de l’église apostolique et romaine, qui, en accueillant la troupe de bouffons qui venait se fixer à Paris, fit, aux comédiens qui voulaient s’y opposer, cette belle réponse, qu’il ne fallait jamais condamner personne sans l’entendre ; et il usa de son autorité pour faire recevoir cette troupe de bouffons à l’hôtel de Bourgogne. […] Continuellement enfermé dans sa bibliothéque, il faisait répondre à ceux qui venaient lui parler d’affaires, qu’il étudiait.

129. (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128

 74) ne s’intéresse pas à ce filou, & ne serait fâché s’il venait à manquer son coup ? […] Justin en abrogeant ce chapitre, ne fit que ce qui se fait de nos jours lorsqu’on vient à reconnoître que le préjugé seul fait la solidité d’une loi. […] C’est là que le Prédicateur, l’Avocat viennent y chercher l’aisance & les principes contre la monotonie insupportable des Collèges. […] « ensuite venaient les enfans qui leur répondaient en chantant de toute leur force. […] De là vient qu’il n’est pas non plus défendu de vivre de cet Art.

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