» Est-ce au Théâtre où l’on pourra exposer ce que dit l’Ecriture contre ceux qui aiment les vanités du siècle ? […] » c’est ainsi que parle Saint Augustin pour détourner les hommes de la folle vanité des spectacles.
Toute action d’éclat dont la vanité souvent est le principe & l’objet ; où bien un systême de conduite imposant : voilà l’idée sage que nous nous serons de la vertu. […] Ce qu’il y a de moins dangéreux dans le vice c’est le crime, comme ce qu’il y a de plus terrible dans la vertu c’est la vanité. […] Mais pour ne donner ni dans la vanité ni dans le crime, est – on vertueux ou exempt de vice ?
Du reste, il y a de grands témoignages d’estime pour soi-même dans cette Epître dédicatoire, de grand airs de vanité et de présomption. […] Ce petit dérangement est à ses yeux une impolitesse énorme dont il craint d’avoir son Cadet même pour témoin : sa folie, c’est la vanité, la pompe, la magnificence ; comment renoncerait-il donc à tout cela sans aucune nécessité ? […] Par exemple, la vanité et les airs précieux sont le partage du Lord-Fat. […] Il faut donc nous retirer une bonne fois de ces vanités attrayantes du siècle. […] « les vanités du monde pervers et les œuvres du Démondans la signification la plus claire et la plus exacte ?