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274. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE V. Suite du Théatre de S. Foix. » pp. 105-139

La comédie étale le faste, la magnificence, la vaine gloire du monde, toutes les pompes de Satan ; elle inspire l’orgueil, la jalousie, le goût des ajustemens ; elle est contraire à l’humilité, à la charité, au détachement de soi-même, à l’amour de prochain.

275. (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE III. L’Esprit de Moliere. » pp. 72-106

Sa belle mère étoit une femme vaine, qui, quoique de la lie du peuple, tranchoit de la femme de qualité, & affectoit de dire avec un air de dignité : Si on excepte Moliere, je n’ai jamais pu souffrir que des gens de qualité.

276. (1608) Traitté contre les masques pp. 3-36

Quiconque donc des croyans est le temple de Dieu ou desire l’estre, que soigneusement il se garde qu’en ensuyuant les choses vaines & mortes il ne soit le manoir des tenebres & le monumẽt du Diable.

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