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450. (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre » pp. 1-48

Et où a-t-il trouvé qu’il fût permis de mêler les choses saintes avec les profanes, de confondre la créance des Mystères avec celle du Moine Bouru, de parler de Dieu en bouffonnant, et de faire une Farce de la Religion : il devait pour le moins susciter quelque Acteuro pour soutenir la Cause de Dieu, et défendre sérieusement ses intérêts : il fallait réprimer l’insolence du Maître et du Valet, et réparer l’outrage qu’ils faisaient à la Majesté Divine : il fallait établir par de solides raisons les Vérités qu’il décrédite par des railleries : il fallait étouffer les mouvements d’impiété que son Athée fait naître dans les Esprits : Mais le Foudre p.

451. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE V. Des Comédiens. » pp. 156-210

C’était l’ordre et la police qu’on peut y mettre qu’il fallait indiquer, au lieu d’écrire contre toute vérité qu’il n’en est pas susceptible. […] L’impertinence de Diogène, ni votre Cynisme maladroit, ne m’empêcheront pas de regarder les Socrate, les Platon, les Molière, les Montaigne, les Montesquieu, les Mirabeau, comme les amis des hommes, et les organes de la raison, de la sagesse et de la vérité.

452. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Fêtes de Théatre. » pp. 95-114

Ceux-ci sont à la vérité, moins meurtriers mais plus pernicieux pour les mœurs.

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