/ 423
129. (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIV. Le sentiment, juge plus sûr que le goût. Celui-ci préféré au premier. Pourquoi ? Amour du Théatre, funestes à ses progrès. Honneurs avilis en devenant trop communs. Cabales. Leurs effets, & les moyens qu’on employe pour les éluder.  » pp. 129-150

L’usage fréquent du Théatre a encore un autre inconvénient. […] Comment pouvons-nous voir, sans rougir, ces ruses qu’ils sont contraints de mettre en usage pour échapper aux traits de notre malignité ?

130. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Avertissement de l’Éditeur, En forme de Table des Matières. » pp. 7-16

106 Il commence par des éclaircissemens sur les trois genres de Drames principalement en usage sur nos Théâtres, & l’on renvoie aux Notes [B] 379, [C] 390, [D] 398, [E] 399, [F] 407. […] Dès que le Spectacle est légitime, la Religion n’en peut improuver que les accessoires, tels que le Drame, l’Etat de Comédien, le Jeu de Théâtre : Si l’on desinconvéniente ces trois objets, les plaisirs du Théâtre cessent d’être contraires à la Religion établie ; nos loix & nos usages ne contrastent plus ; nous pouvons être heureux & vertueux sans inconséquence.

131. (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Du mandemant de Monseigneur l’Archeveque de Rouen. » pp. 379-401

Le Clergé doit savoir d’ailleurs que l’institution d’un ministère des affaires ecclésiastiques est une voie que le Gouvernement a sans doute voulu ouvrir pour faire concorder les lois ou usages de l’Eglise avec les lois ou usages de la nation, et il me paraît tout naturel qu’il eût été du devoir de M. l’archevêque de Rouen, avant de lancer son acte fulminatoire, de prendre conseil du ministre qui est chargé de ce département, et je ne fais aucun doute que, dans le secret du cabinet, son excellence ne l’eût invité ou à modifier, ou à supprimer un pareil acte.

/ 423