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251. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suite de Mêlanges. » pp. 84-120

Ils firent connoissance à Avignon, lorsque ce comédien, fugitif de la maison de son pere, amoureux de quelque actrice, se donna, pour la suivre, à une troupe d’histrions qui rodoient dans les provinces, & dont enfin il devint directeur.

252. (1756) Lettres sur les spectacles vol.1 pp. -610

Cette seconde Lettre est dans la forme de ces Ecrits où l’on fait face à tout le monde : on tire çà & là suivant le besoin : c’est une sorte de guerre à Troupes légeres. […] Pour nous, vil Peuple, assis aux derniers rangs, Troupe futile, & des Grands rebutée, Par nous d’en bas la Piece est écoutée : Mais nous payons, utiles Spectateurs ; Et quand la farce est mal représentée, Pour notre argent nous sifflons les Acteurs. […] Les troupes de Comédiens y sont ambulantes, & restent plus ou moins dans les Etats qui les admettent. […] Elles en imposeront à cette troupe de Charlatans, qui crient chacun de son côté sur une place publique : Venez à moi.

253. (1771) Sermons sur l’Avent pp. 103-172

si ces Prédicateurs enfin, qui sont écoutez avec tant d’attention & de respect par un Auditoire, préparé à cette action sainte par le chant des Pseaumes, & par l’assistance aux divins Offices, ont avec tout cela tant de peine à inspirer l’amour des vertus Chrétiennes, si avec tout cela on voit si peu de fruit de leur travail, que peut-on esperer de ces fantômes de vertu, débitez sur un Théatre par des Comediens à une troupe de faineants !

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