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208. (1671) Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis « letter » pp. 472-482

Il dispose si absolument de ces esclaves, qu’il y a peu d’hommes et de femmes dans leur troupe qui ne fissent les mêmes impiétés si elles attiraient plus de monde à leurs infâmes spectacles, et s’ils en tiraient plus de profit.

209. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IV. Le Peuple doit-il aller à la Comédie ? » pp. 60-74

Le Majuma n’était pas un seul genre de spectacle, c’était un composé de toutes sortes de divertissements, de jeux, de promenades, de bouffonneries, qui duraient plusieurs jours, comme des Saturnales : attirées par la licence et par l’espérance du gain, des troupes de Bateleurs y venaient donner des farces ; ce qui ne fit qu’augmenter la débauche.

210. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Du Législateur de Sans–souci. » pp. 93-109

Les mariages, comme les troupes, ont un exercice à la Prussienne, le commerce est le vrai Sacrement, & il ouvre la porte à la plus grande licence.

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