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240. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XI. Les Grecs ont-ils porté plus loin que nous la perfection de la Tragédie ? » pp. 316-335

Quand nos Spectacles ne furent plus ceux du Peuple, leur caractere changea, & pour occuper des Spectateurs d’un autre goût, on traita les Sujets de la Fable, & de l’Histoire profane, & nos Poëtes durent avoir en les traitant des vues que ne pouvoit avoir un Poëte Grec.

241. (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « [Lettre] » pp. 4-32

La première chose où l’auteur de ces Observations fait connaître sa passion est que par une affectation qui marque que sa bile est un peu trop échauffée, il ne traite Molière que de farceur, et, ne lui donnant du talent que pour la farce, il lui ôte en même temps les rencontres de Gaultier-Garguille, les impromptus de Turlupin, la bravoure du Capitan, la naïveté de Jodelet, la panse de Gros-Guillaume et la science du Docteurb.

242. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE VI. Où l’on examine si le Bal public proposé par M. Rousseau ne serait pas plus préjudiciable aux mœurs de Genève, que le spectacle qu’il proscrit. » pp. 211-224

Etait-il ivre quand il traitait Porus en Roi, qu’il mettait la Couronne sur le front d’Aristodème, et qu’il admirait le désintéressement de Diogène ?

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