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241. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE V. Remarques sur L’Amphitryon, Le Roi Arthur, Don Quichotte et Le Relaps. » pp. 302-493

A l’égard des Tragiques Grecs il n’y a rien à espérer d’eux en faveur du Jupiter Anglais. […] Les emportements tragiques de Térée et de Thyeste sont à notre sens, de véritables extravagances.

242. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. L’Arétin, le Tasse, l’Arioste. » pp. 38-79

Mais le Parnasse Florentin prit tout au tragique ; il se livra à son ressentiment, comme quelques années après le Cardinal de Richelieu se livra à la jalousie contre Corneille, en faisant censurer le Cid.

243. (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Chapitre » pp. 63-156

Phèdre est peut-être le seul ouvrage de ce grand homme, où l’amour soit vraiment terrible et tragique ; encore y est-il défiguré par l’intrigue obscure d’Hippolyte et d’Aricie.

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