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146. (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — QUATRIEME PARTIE. — Tragédies à corriger. » pp. 180-233

Dans cet état la Tragédie des Horaces serait admirable pour le Théâtre de la Réformation. […] Au reste, je n’exclus pas tout à fait cette Tragédie du Théâtre ; mais, si on en veut faire usage, je propose une correction. […] La Tragédie de Médée, réduite en cet état, me paraîtrait assez convenable pour le Théâtre de la Réformation. […] La Tragicomédie d’Agrippa ou du faux Tibérinus, mise en cet état, me paraîtrait très convenable pour le nouveau Théâtre. […] Lorsque la Tragédie de Romulus sera lavée de ces sortes de taches, je croirais qu’elle pourrait se conserver pour le Théâtre de la Réformation.

147. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE V. Remarques sur L’Amphitryon, Le Roi Arthur, Don Quichotte et Le Relaps. » pp. 302-493

Cependant, Amanda tient toujours ferme contre l’ordinaire du Théâtre Anglais. […] Mais les temps sont peut-être malheureux à leur sens, parce que le Théâtre commence à tomber presque partout : le Théâtre, cette Ecole infâme où se donnent des leçons publiques du libertinage…. […] Qu’est-ce qu’un couplet de chanson sur notre Théâtre ? […] L’objet de la passion des Héros du Théâtre n’est pas moins que leur divinité. […] Je conviens que le Théâtre n’est pas l’Auteur de la damnable coutume de se venger.

148. (1752) Essai sur la comédie nouvelle « ESSAI SUR LA COMEDIE MODERNE. » pp. 1-160

C’est à son tribunal seul que je traduis le Théâtre. […] En un mot le Théâtre est toujours le même au fond sous une autre forme. […] Faut-il que tout ce qui touche au Théâtre se souille dans l’instant ? […] On trouve ce mot dans le théâtre de Molière. […] [NDE] De la réformation du théâtre, 1743.

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