Les saints Canons ont toujours défendu les réjouissances publiques aux pénitents : et quand ferons-nous, Mes très chers Frères, des fruits dignes de pénitence, si nous ne les faisons lorsque nous voyons la colère du Ciel répandue sur toute la terre ?
: « Pour bien faire connaître, dit-il, qu’est-ce que le théâtre, et en déclarer l’essence, on peut dire que c’est le temple de Vénus, où la volupté est traitée, estimée, honorée et adorée comme une divinité ; c’est la citadelle ou le fort où toutes sortes d’impuretés se pratiquent avec toute licence et effronterie » : ensuite de quoi il rapporte un exemple d’une femme chrétienne, dans le corps de laquelle le diable entra, pendant qu’elle assistait aux spectacles : car comme on faisait les exorcismes pour chasser cet hôte cruel, le chargeant de malédiction de ce qu’il avait été si cruel, que d’entreprendre sur une personne fidèle, il répondit toujours, ‘Dieu l’a ainsi permis, pour rendre témoignage de l’abomination de ces lieux infâmes, et quand j’en ai ainsi usé, ça a été avec justice, l’ayant trouvée sur ma terre, et dans un lieu où je suis le Seigneur et le maître’.
Mais les Astrologues prétendent qu’ils ne se peuvent tromper, parce que leurs principes sont infaillibles, qu’ils s’élèvent au-dessus du temps, qu’ils entrent dans l’Eternité, et qu’ils consultent le Ciel pour apprendre de ses constellations ce qui doit arriver sur la Terre.