On pourrait aussi examiner si la passion d’amour, telle qu’on la représente dans cette Tragédie, c’est-à-dire dans un degré ordinaire, peut fonder une grande action : mais, sans entrer dans ce détail, je me contenterai de dire, qu’une action tragique de cette nature (malgré la supériorité avec laquelle Racine l’a traitée) ne peut inspirer que des maximes dangereuses, pour apprendre à métaphysiquer sur une passion, dont les suites peuvent aisément devenir funestes.
Nous donnerons par la suite le résumé de ces Observations, en indiquant un Ecrit où elles ont été réfutées. […] Réduit à l’extrémité par les suites de cet accident, il reconnut enfin avec beaucoup de larmes la vérité qu’il n’avoit pas voulu voir jusqu’alors. […] C’est ce qu’il prouve dans le quatrieme chapitre, qui fait la suite du précédent. […] On y trouve au mot Spectacles, une suite méthodique des meilleurs principes sur cette matiere. […] Trop heureuse la société, si leur stérilité est la suite de ce nouveau genre d’incontinence….
La danse n’est qu’une suite de mouvemens faits en cadence sur une figure réguliere, dans la vue de s’amuser, ou de marquer sa joie ; le public ne va pas plus loin : Ces mouvemens ne signifient rien, & ne sont pas des gestes. […] L’art dramatique est l’art de peindre ; chaque drame est un tableau général d’une action composée d’une suite de tableaux, chaque acte, chaque scène en est un ; une danse doit faire une scène, & par conséquent un tableau.