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388. (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45

Il n’auroit point, sans doute, (je suppose toujours des temps plus heureux,) il n’auroit point dégradé la Tragédie nationale en la consacrant, comme a fait un homme médiocre, à des aventures sans importance, à des fanfaronnades militaires, à des flatteries serviles, flétrissantes pour l’auteur qui ôse les risquer & pour l’Auditoire qui peut les souffrir.

389. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Le Comte de Chavagnac & le Marquis de… » pp. 188-216

Elle en permet l’usage, & ne souffre pas que ce trésor devienne inutile.

390. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VII. Autre suite de diversités curieuses. » pp. 173-202

Le Sieur Renou, aussi zélé pour le profit que pour la gloire, sent vivement la perte de la part du produit des représentations que lui fait souffrir cette querelle.

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