Il n’auroit point, sans doute, (je suppose toujours des temps plus heureux,) il n’auroit point dégradé la Tragédie nationale en la consacrant, comme a fait un homme médiocre, à des aventures sans importance, à des fanfaronnades militaires, à des flatteries serviles, flétrissantes pour l’auteur qui ôse les risquer & pour l’Auditoire qui peut les souffrir.
Elle en permet l’usage, & ne souffre pas que ce trésor devienne inutile.
Le Sieur Renou, aussi zélé pour le profit que pour la gloire, sent vivement la perte de la part du produit des représentations que lui fait souffrir cette querelle.