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305. (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46

A la vérité, quelques Spectateurs moins aguerris souffrent de ces succès qu’ils regardent comme autant d’outrages faits à la nature. […] De la perte du tems s’ensuit nécessairement la négligence des devoirs ; les affaires du déhors et celles du dedans souffrent de ces fréquentes absences.

306. (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189

Dacier, lorsqu’il dit : « Je suis persuadé que le sujet de cette piéce paroîtra aujourd’hui trop horrible, et; que l’on ne pourra souffrir un fils qui tue sa mere, et; une fille qui exhorte son frere à ce meurtre. […] Vous n’approuvez pas qu’il soit question au Théatre de crimes, souffrez donc qu’on y censure le ridicule. […] Souffrez qu’une main adroite les ôte, afin de profiter d’une si aimable fleur. […] L’heure des Spectacles étant toujours celle du soir, le travail n’en souffrira point. […] Sur celui-ci l’on ne manquera pas de dire : cet homme est fou de la danse, je m’ennuye à voir danser : il ne peut souffrir la Comédie, j’aime la Comédie à la passion : il a de l’aversion pour les femmes, je ne serai que trop bien justifié là-dessus : il est mécontent des Comédiens, j’ai tout sujet de m’en louer, et; l’amitié du seul d’entr’eux que j’ai connu particulierement ne peut qu’honorer un honnête homme. » Si je juge de vous par vos écrits celui-ci m’apprendra qui vous êtes à présent, et; quel vous avez été autrefois.

307. (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XII. Des Machines & du merveilleux. » pp. 179-203

Les oracles se souffrent sur notre scène dans une action dont les héros sont pris de l’antiquité.

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