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39. (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340

« La procession sort de l’église Saint-Sauveur, à 11 heures et demie, dans l’ordre suivant : « 1.  […] Les deux clergés réunis de Saint-Jacques et de Saint-Remy, l’on sortait de l’église, on portait l’espèce de tombeau ou berceau dans lequel était la représentation de la Vierge, et à ses côtés les filles de Sion ; ensuite le S.  […] Les complies de la Pentecôte étant finies, le doyen, les chanoines, et les habitués sortaient de l’église en procession, et venaient dans le petit cloître : il y a au milieu du préau un dôme, et au-dedans une masse de pierre taillée en rond, et des images aussi de pierre à l’entour. […] C’est le sort ordinaire des dévotions outrées de dégénérer en licence et en abus. […] Le Dieu est debout, barbu, un peu âgé et nu ; près de lui, se trouve placé son ami Pan : et son char, traîné par un centaure et une centauresse, semble sortir du sein des eaux sur lesquelles on voit les divinités de la mer.

40. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Huitième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 287-295

Se peut-il, Mademoiselle, que vous me rendiez l’arbitre de votre sort ! […] Je sors, & dîne seule avec monsieur de Longepierre : il le faut.

41. (1678) Maxime LXXXI « LXXXI » pp. 39-41

Ainsi on sort de la Comedie le cœur si rempli de toutes les douceurs de l’amour, & l’esprit si persuadé de son innocence, qu’on est tout préparé à recevoir ses premieres impressions, ou plûtost à chercher l’occasion de les faire naître dans le cœur de quelqu’un, pour recevoir les mesmes plaisirs & les mesmes sacrifices que l’on a veûs si bien representez sur le theatre.

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