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37. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIX. Nouvel abus de la doctrine de Saint Thomas. » pp. 102-108

aux pénitents de s’abandonner dans leur particulier aux jeux réjouissants, parce que « la pénitence demande des pleurs et non pas des réjouissances » ; et tout ce qu’il leur permet, « est d’user modérément de quelques jeux en tant qu’ils relâchent l’esprit et entretiennent la société entre ceux avec qui ils ont à vivre » ; ce qui ne dit rien encore, et se réduit comme on voit, à bien peu de choses. […] ag Par toutes ces autorités, après avoir modéré les divertissements qu’un pénitent peut se permettre en particulier pour le relâchement de l’esprit et la société, il lui défend tous les spectacles publics et tous les exercices qui dissipent ; cependant le dissertateur trouve en cet endroit, qu’on peut entendre la comédie « tout le carême » (ce sont ses mots)Pag. 54. [« Lettre d’un théologien », page 54].

38. (1825) Des comédiens et du clergé « [FRONTISPICE] »

par le baron d'henin de cuvillers, Maréchal-de-camp ; Chevalier de l’Ordre royal et militaire deSaint-Louis, Officier de l’Ordre royal de la Légion-d’honneur ;Membre de plusieurs Sociétés savantes, etc.

39. (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « AVERTISSEMENT. »

Ce n’est point ici une affaire personnelle, tout le public est intéressé dans la question dont il s’agit, et il n’y a personne qui n’y prenne part : elle regarde également la Religion et la société civile.

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