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87. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXIV.  » pp. 482-483

Ceux qui sentent en eux ce besoin le doivent considérer non comme une faiblesse naturelle; mais comme un vice d'accoutumance, qu'il faut guérir en s'occupant sérieusement.

88. (1675) Traité de la comédie « XXIV.  » pp. 312-313

Ceux qui sentent en eux ce besoin, le doivent considérer non comme une faiblesse naturelle, mais comme un vice d'accoutumance, qu'il faut guérir en s'occupant sérieusement.

89. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27

Sent. dist. […] Qui connaît mieux les anecdotes théâtrales, qui y fournit plus de matière, qui lit plus régulièrement les pièces, juge plus hardiment, prononce plus décisivementc, qui sent, qui goûte mieux le jeu des Acteurs et les grâces des Actrices, que ceux que leur état devrait y rendre les plus étrangers ? […] Si on ne sent pas l’indécence de ces ouvrages par de telles plumes, c’est une des plus fortes preuves du danger du théâtre. […] Diana aurait dû sentir que le mot vita et honestas, honestum, comme on peut le voir dans les Offices de Cicéron, et partout, ne se borne pas en latin, comme en français, à ce qu’on appelle civilité, politesse, bienséance : il embrasse les mœurs et la conduite.

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