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447. (1825) Encore des comédiens et du clergé « NOTICE SUR LE MINISTERE FRANÇAIS EN 1825. » pp. 87-100

Parmi les hommes les plus aigris contre les ministres, on en remarque dans les rangs des congréganistes et des ultra-monarchiques de toutes les couleurs, particulièrement parmi les compétiteurs du fauteuil ministériel, entre lesquels on aperçoit d’anciens hommes d’état, qui jadis s’étaient attelés au char de la sainte alliance.

448. (1705) Traité de la police « Chapitre premier. Des Spectacles anciens, leur origine, leur division, leurs dérèglements, et les Lois qui ont été faites pour les réformer. » pp. 434-435

ne les regardaient point, et s’émancipaient d’y contrevenir ; cela donna lieu à une Loi de Théodose le Jeune, et de Valentinien de l’an 425. « Elle porte de nouvelles défenses, de représenter aucuns jeux, soit du théâtre, soit du cirque le jour du Dimanche, et y ajoute les jours de Noël, de l’Epiphanie, de Pâques, les cinquante jours d’entre Pâques et la Pentecôte, et les Fêtes des Apostres, afin, dit cette Loi, qu’en ces saints jours, le Peuple n’étant point distrait par des plaisirs profanes, put appliquer tout son esprit au service de Dieu.

449. (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Moliere. » pp. 4-28

Bien-tôt on le verroit couronné de rayons, comme un Saint canonnisé, si les Comédiens connoissoient les Saints, & si à l’exemple de leur idole ils s’embarrassoient de sainteté.

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