Les superbes Romains, ces vainqueurs glorieux N’ont-ils pas méprisé ces combats odieux ? […] Ce fait est une imposture qu’on attribua avec raison aux ennemis de la Communion Romaine. […] « Les Communions dissidentes de la Romaine, dit M. […] « Les Romains eurent le même sort que les Grecs. […] Groslei, on fit des efforts pour agir à la Grecque & à la Romaine.
C’est aussi pour cela, que l’on court volontiers au theatre, où l’on voit si bien faire ce personnage, & d’où l’on tire de si belles leçons : Theatre mal-heureux, sur lequel on a vû naître de nos jours, quelque chose de pis, que ce qu’avoit celuy des Romains, où la pieté n’étoit pas tant décriée par les infidéles qui l’ignoroient, qu’on la veuë l’être aujourd’huy par des Chrétiens, qui la connoissant, en ont fait leur fable & leur divertissement !
. — Ce n’est pas que vous demeuriez toujours dans les bornes de votre partage, il prend quelquefois envie au plaisant de se fâcher, et au mélancolique de s’égayer, car sans compter la manière ingénieuse dont il nous peint ces Romains qu’on voyait « à la tête d’une armée et à la queue d’une charrue », il me dit assez galamment, « que si je veux me servir de l’autorité de Saint Grégoire en faveur de la Tragédie, il faut me résoudre à être toute ma vie le Poète de la passion ».