Comment, dans une Religion qui nous oblige de rapporter à Dieu tout ce que nous faisons, de mortifier nos sens, de crucifier notre chair, d’user de ce monde comme n’en usant pas, il nous sera permis de suivre les folies du siècle, et de nous y livrer ? […] La mort est le moment qui dessille les yeux, et l’on peut s’en rapporter à ce que la conscience reproche alors.
Cette défense n’est pas nouvelle ; un Capitulaire rapporté par M.
Je m’en rapporte là-dessus aux connaisseurs en ce genre qui vivent dans nos campagnes ».