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32. (1579) Petit fragment catechistic « Que les jeux des théâtres et les danses sont une suite de la science diabolique, opérante par philaphtie et amour de soi-même contraire à la foi opérante par charité, fondement de la Cité de Dieu. » pp. 20-26

Ibi docet quod theatralium chorus omnium malorum est origol. […] Ibi docet quod in theatris omnia sunt contraria honestati et pietatim.

33. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIV. Troisième réflexion sur la doctrine de Saint Thomas : passage de ce saint docteur contre les bouffonneries. » pp. 85-87

« On rendra compte à Dieu de toute parole oiseuse : id est, verbum joculatorium per quod volunt inde placere aliis : de omni verbo otioso, etc. » Il compte donc manifestement ces trois choses parmi les vices, tria vitia, et reconnaît un vice ou une malice particulière dans les paroles, « par lesquelles on veut plaire aux autres » et les faire rire, distincte de celle des paroles qui portent au mal ; ce qui bannit manifestement la bouffonnerie, ou pour parler plus précisément la plaisanterie, du milieu des chrétiens, comme une action légère, indécente, en tout cas oisive selon Saint Thomas, et indigne de la gravité des mœurs chrétiennes.

34. (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 19-42

Non, Madame, il ne les approuve pas : il nous dit en termes formels, que Superflute in ludo accipitur quod excedit regulam rationis ; quod potest esse… uno modo ex ipsa specie actionum… quando scilicet utitur aliquis causa ludi turpibus verbis vel factis, vel etiam his quæ vergunt in proximi nocumentum, quæ de se sunt peccata. […] Superflute in ludo accipitur quod excedit regulam rationis ; quod potest esse… uno modo ex ipsa specie actionum… quando scilicet utitur aliquis causa ludi turpibus verbis vel factis, vel etiam his quæ vergunt in proximi nocumentum, quæ de se sunt peccata.

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