Des hommes qui ont quitté le monde, parce que la fortune et l’amour les ont haï, font des tableaux affreux, et un jeune esprit que la mélancolie consume, écoute comme des oracles les destructeurs du genre humain.
Quoique les autres œuvres de piété ne soient pas d’une obligation aussi précise que la messe, puisque l’Eglise nous laisse la liberté du choix, ce serait s’abuser de croire qu’après une messe basse entendue, on est quitte de tout, et si fort maître de son temps, qu’on peut impunément le perdre.
« Tragiques Français, dit-il, quittez pour un moment le cothurne, et daignez me répondre.