/ 85
65. (1694) Lettre d’un Docteur de Sorbonne à une personne de Qualité, sur le sujet de la Comédie « letter » pp. 3-127

Les Comédies, dit Tertullien, ne plaisent point à Dieu, et ne conviennent point à des Serviteurs de Dieu, parce que la pompe qui les accompagne est l’ouvrage du Démon, et que nous y renonçons au Baptême : « Adversus quam in signaculo fidei ejeramus ». […] Voilà néanmoins les choses que Tertullien même estime les plus scandaleuses dans les Spectacles : « In omni spectaculo, dit-il, nullum majus scandalum occurret quam ipse ille mulierum et virorum accuratior cultus ; ipsa consensio, ipsa in favoribus aut conspiratio aut dissensio inter se de commercio scintillas libidinum conflabellant.» […] Il ajoute, qu’il vaudrait bien mieux que ces gens-là n’eussent jamais appris à lire que de faire un tel usage de leur lecture : « Hoc loco dixerim longe melius fuisse nullas litteras nosse quam sic litteras legere.»

66. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Troisieme suite du Fard. » pp. 171-194

adoptées par tous les auteurs : Fucare pigmentis quo rubicundior vel condior appareat adulterina fallacia est, quam non dubito etiam ipsas maritas nolle decipit quibus socis permitenda sunt fœminæ ornari secundum veniam, non secundum imperium, nam verus ornatus maximi Christianorum vel Christianorum non tautum, nullus fucus mendax, verum nec auri quidam vestisque pompa sed boni mores sunt.

67. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VIII.  » pp. 195-221

Une Réligieuse entend-elle le Latin, connoit-elle les loix de l’homme, quand elle dit : Charius mihi est dici tua meretrix quam esse imperatrix.

/ 85